Cet article du Journal de Lorenzo (suite) qu’il nous a proposé hier aborde en trois parties deux sujets distincts, tous deux relatifs à l’art. Le premier concerne la photographie et le second la littérature, deux domaines de l’art dans lesquels Lorenzo exerce ses talents, parfois ici même.
Aujourd’hui, mon commentaire ne traitera que de la première partie de l’article, celle qui abordait la question de la photographie en « noir et blanc » et en couleur et, qu’après une première lecture, j’avais trouvée passionnante. Historique et paradoxale, elle avait de quoi attirer l’esprit ignorant mais curieux qui est le mien.
Ainsi donc, selon Lorenzo, ce que personne ne soupçonne c’est le fait que le noir et blanc des photographies de l’ancien temps résulte d’une part, et c’est logique, des limites de la technique de l’époque, mais aussi, et c’est là que ça devient intéressant, d’un « choix arbitraire entre plusieurs possibilités, une infinité même, de transformer les couleurs en noir et blanc »
Et là, comme le faisait si bien Desproges, je me dis « Étonnant, non ? » Et puis, soudain, comme aurait dit le même, « le doute m’habite ». L’auteur (Lorenzo) a-t-il voulu dire Continuer la lecture de La photographie selon Calvin →