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Parlons de Donald Trump

par Jim
Depuis Mardi, Donald Trump signe à tour de bras des décrets tous plus vengeurs, contestables, ridicules, les uns que les autres, mais tous déclinés haut et fort, ad nauseam, durant sa campagne électorale. Donc, rien à redire, Donald Trump a été démocratiquement élu, et même «bien» élu, sur la base d’un programme annoncé compris du peuple, en tout cas de la majorité qui l’a élu.

Peu importe maintenant, la cause est entendue, mais nous savons depuis toujours deux ou trois choses de Donald Trump : il ne sait rien de l’histoire, il n’a aucune connaissance de la géographie et son vocabulaire se limite à peu de mots. Un exemple illustre ces trois méconnaissances : le mot « golf », Continuer la lecture de Parlons de Donald Trump

Consécration à Notre-Dame

par Jim
Quel est l’homme le plus puissant du monde sur cette photo prise le 7 décembre à Notre Dame (source Fig Mag, photo Éric Tschaen) ? Est-ce ce personnage isolé à gauche, âgé, courbé, dubitatif, ou bien est-ce celui au premier plan, arrivé après tous les dignitaires du monde entier, qui a marché d’un pas assuré depuis le porche jusqu’au transept par le vaisseau central de la nef, puis, Auguste, maître de lui comme de l’univers, est passé devant les dignitaires subjugués assis au premier rang pour rejoindre sa place derrière eux, je vous le demande?

Marylin

A propos de Go West !, Jim a émis hier un commentaire qui comportait des photographies. Pour des raisons techniques, les photographies ne peuvent être insérées dans les commentaires. Le sien est donc publié sous forme d’article. 

 

Depuis le début du récit, je le lis avec plaisir, une aventure bien américaine avec ses ingrédients indispensables, l’immensité et la diversité du territoire, la police, les truckers, un révolver, etc…, et Marilyn, la belle et fragile Marilyn que j’ai toujours aimée, pas seulement dans ses films et ses photo dans les magazines. Il y a trois portraits dessinés qui m’ont toujours interpellé. Le premier est le portrait peint par Andy Warhol. Le deuxième est l’affiche du film « Quand la ville dort » (The asphalt jungle) dans lequel elle joue un tout petit rôle de débutante et pourtant c’est elle qui tient la place prémonitoire de star sur l’affiche. Je ne connais pas l’origine du troisième mais il exprime parfaitement qui était Marilyn. Paix à son âme!

Rendez-vous à cinq heures au Small Horse Shoe

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Retour au Petit Fer à Cheval
par James Redwood
traduction de Jim

Mon véritable nom est James Redwood. Je suis scénariste à la BBC mais l’histoire que je vais vous raconter aujourd’hui en 1957 n’est pas une fiction mais une histoire bien réelle. Elle débute en 1942 à Paris où je me trouve sans autres papiers d’identité que mon passeport anglais car nous les sujets aujourd’hui de sa Majesté la Reine Elisabeth – tout comme en 1942 lorsque j’étais sujet de sa Majesté le Roi George VI – n’avons pas de carte d’identité comme vous autres les français. J’aurais sacrément voulu en avoir une, française, le 16 Mai 1942 comme celle détenue par Dieter Wiegenfeld, mais pourquoi donc après tout puisque à l’époque je ne parlais pas plus de trois mots en français. Vous vous questionnez, hein? comment se fait-il que je sache que Dieter Wigengeld en détenait une ? Voilà l’histoire.

Le 16 Mai 1942, j’étais assis à la terrasse Au Petit Fer à Cheval dans le coin Continuer la lecture de Rendez-vous à cinq heures au Small Horse Shoe

Rendez-vous à cinq heures avec Sempé et son orchestre symphonique

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Dis Sempé, c’est quoi l’orchestration musicale ?

C’est Jim qui pose la question !

Moi aussi je suis depuis son premier album « Rien n’est simple », autant dire depuis longtemps, un fidèle amateur de Sempé. Ses dessins, sobres ou denses, sans Continuer la lecture de Rendez-vous à cinq heures avec Sempé et son orchestre symphonique

Rendez-vous à cinq heures : Jim fait le pont (15)

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Construire un pont, quelle bonne idée !
par Jim

Le Pont des Arts

 Si, par hasard,
Sur l’pont des Arts,
Tu crois’s le vent, le vent fripon,
Prudenc’, prend garde à ton jupon !
Si, par hasard,
Sur l’pont des Arts,
Tu crois’s le vent, le vent maraud,
Prudent, prend garde à ton chapeau !

Mais une attention profonde
Prouv’ que c’est chez les fâcheux
Qu’il préfèr’ choisir les victim’s de ses petits jeux ! 

Georges Brassens

C’est avec cette aquarelle du Pont des Arts qu’en signe d’amitié envers la confrérie des lecteurs du JDC et de son homme orchestre fondateur-directeur-rédacteur-en-chef-éditorialiste-chroniqueur-feuilletoniste-photographe-satyriste(tendances-vialattiste-desprogiste-dérisioniste), je lève mon chapeau. Le Pont des Arts sera le dernier d’une série Continuer la lecture de Rendez-vous à cinq heures : Jim fait le pont (15)

Rendez-vous à cinq heures : Jim fait le pont (14)

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Construire un pont, quelle bonne idée !
par Jim

Un autre Pont Éphémère : celui sur la Rivière KwaÏ

Tout le monde se souvient de ce film sorti en France en 1958, réalisé par David Lean d’après un roman écrit par Pierre Boule et avec une belle brochette d’acteurs dont surtout Alec Guinness remarquable dans le rôle du psychorigide Colonel Nicholson.  L’on se souviendra aussi de l’air fétiche sifflé Continuer la lecture de Rendez-vous à cinq heures : Jim fait le pont (14)

Rendez-vous à cinq heures : Jim fait le pont (12)

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Construire un pont, quelle bonne idée !
par Jim

Un Pont plus qu’Éphémère, Symbolique !

Et en plus en carton !

Jeter un pont sur le Tibre entre le Palais Farnèse et le Villa Farnesina, Michel-Ange en rêvait, c’est un artiste marseillais, Olivier Grossetête, qui l’a fait.

L’ouvrage d’art, constitué Continuer la lecture de Rendez-vous à cinq heures : Jim fait le pont (12)