Archives par mot-clé : Jim

Marylin

A propos de Go West !, Jim a émis hier un commentaire qui comportait des photographies. Pour des raisons techniques, les photographies ne peuvent être insérées dans les commentaires. Le sien est donc publié sous forme d’article. 

 

Depuis le début du récit, je le lis avec plaisir, une aventure bien américaine avec ses ingrédients indispensables, l’immensité et la diversité du territoire, la police, les truckers, un révolver, etc…, et Marilyn, la belle et fragile Marilyn que j’ai toujours aimée, pas seulement dans ses films et ses photo dans les magazines. Il y a trois portraits dessinés qui m’ont toujours interpellé. Le premier est le portrait peint par Andy Warhol. Le deuxième est l’affiche du film « Quand la ville dort » (The asphalt jungle) dans lequel elle joue un tout petit rôle de débutante et pourtant c’est elle qui tient la place prémonitoire de star sur l’affiche. Je ne connais pas l’origine du troisième mais il exprime parfaitement qui était Marilyn. Paix à son âme!

Rendez-vous à cinq heures au Small Horse Shoe

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Retour au Petit Fer à Cheval
par James Redwood
traduction de Jim

Mon véritable nom est James Redwood. Je suis scénariste à la BBC mais l’histoire que je vais vous raconter aujourd’hui en 1957 n’est pas une fiction mais une histoire bien réelle. Elle débute en 1942 à Paris où je me trouve sans autres papiers d’identité que mon passeport anglais car nous les sujets aujourd’hui de sa Majesté la Reine Elisabeth – tout comme en 1942 lorsque j’étais sujet de sa Majesté le Roi George VI – n’avons pas de carte d’identité comme vous autres les français. J’aurais sacrément voulu en avoir une, française, le 16 Mai 1942 comme celle détenue par Dieter Wiegenfeld, mais pourquoi donc après tout puisque à l’époque je ne parlais pas plus de trois mots en français. Vous vous questionnez, hein? comment se fait-il que je sache que Dieter Wigengeld en détenait une ? Voilà l’histoire.

Le 16 Mai 1942, j’étais assis à la terrasse Au Petit Fer à Cheval dans le coin Continuer la lecture de Rendez-vous à cinq heures au Small Horse Shoe

Rendez-vous à cinq heures avec Sempé et son orchestre symphonique

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Dis Sempé, c’est quoi l’orchestration musicale ?

C’est Jim qui pose la question !

Moi aussi je suis depuis son premier album « Rien n’est simple », autant dire depuis longtemps, un fidèle amateur de Sempé. Ses dessins, sobres ou denses, sans Continuer la lecture de Rendez-vous à cinq heures avec Sempé et son orchestre symphonique

Rendez-vous à cinq heures : Jim fait le pont (15)

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Construire un pont, quelle bonne idée !
par Jim

Le Pont des Arts

 Si, par hasard,
Sur l’pont des Arts,
Tu crois’s le vent, le vent fripon,
Prudenc’, prend garde à ton jupon !
Si, par hasard,
Sur l’pont des Arts,
Tu crois’s le vent, le vent maraud,
Prudent, prend garde à ton chapeau !

Mais une attention profonde
Prouv’ que c’est chez les fâcheux
Qu’il préfèr’ choisir les victim’s de ses petits jeux ! 

Georges Brassens

C’est avec cette aquarelle du Pont des Arts qu’en signe d’amitié envers la confrérie des lecteurs du JDC et de son homme orchestre fondateur-directeur-rédacteur-en-chef-éditorialiste-chroniqueur-feuilletoniste-photographe-satyriste(tendances-vialattiste-desprogiste-dérisioniste), je lève mon chapeau. Le Pont des Arts sera le dernier d’une série Continuer la lecture de Rendez-vous à cinq heures : Jim fait le pont (15)

Rendez-vous à cinq heures : Jim fait le pont (14)

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Construire un pont, quelle bonne idée !
par Jim

Un autre Pont Éphémère : celui sur la Rivière KwaÏ

Tout le monde se souvient de ce film sorti en France en 1958, réalisé par David Lean d’après un roman écrit par Pierre Boule et avec une belle brochette d’acteurs dont surtout Alec Guinness remarquable dans le rôle du psychorigide Colonel Nicholson.  L’on se souviendra aussi de l’air fétiche sifflé Continuer la lecture de Rendez-vous à cinq heures : Jim fait le pont (14)

Rendez-vous à cinq heures : Jim fait le pont (12)

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Construire un pont, quelle bonne idée !
par Jim

Un Pont plus qu’Éphémère, Symbolique !

Et en plus en carton !

Jeter un pont sur le Tibre entre le Palais Farnèse et le Villa Farnesina, Michel-Ange en rêvait, c’est un artiste marseillais, Olivier Grossetête, qui l’a fait.

L’ouvrage d’art, constitué Continuer la lecture de Rendez-vous à cinq heures : Jim fait le pont (12)

Rendez-vous à cinq heures : Jim fait le pont (11)

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Construire un pont, quelle bonne idée !
par Jim

Histoire tragique d’un pont éphémère

“C’est la Bérézina“ est une expression purement française pour annoncer une catastrophe. Elle est née d’un épisode dramatique lors de la désastreuse retraire de Russie, celui du passage de la Bérézina au cours duquel deux ponts en bois furent construits dans des conditions dantesques par les pontonniers aux ordres du Général Éblé. Ces ponts permirent le passage de 40.000 soldats mais l’arrivée des forces russes de Koutouzov obligèrent Éblé à détruire ces ponts par incendie abandonnant ainsi à leur sort et au carnage un reliquat de 30.000 soldats. La mémoire collective en France n’a retenu de cet épisode que cette catastrophe épouvantable. C’est parait-il Balzac qui le premier écrivit c’est la Bérézina dans une lettre à un ami exprimant son impossibilité à rembourser ses dettes.

Des années plus tard, en 2015, l’écrivain voyageur Sylvain Tesson racontera Continuer la lecture de Rendez-vous à cinq heures : Jim fait le pont (11)

Rendez-vous à cinq heures : Jim fait le pont (10)

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Construire un pont, quelle bonne idée !
par Jim

Sous le Pont Alexandre III

« Regarder sous la jupe-tablier d’une fille sera sévèrement puni »
Article 5 du Règlement de Discipline de l’École Communale de Trifouilli-sur-Yvette, placardé dans la cour de récréation.

Ajoutés au crayon mal taillé tout autour du règlement :
alex a tou vu sou la juppe de joséfine
 filou aussi 
  yolen a lever son tablier pour leon
leon cé un kouillemol