Marylin

A propos de Go West !, Jim a émis hier un commentaire qui comportait des photographies. Pour des raisons techniques, les photographies ne peuvent être insérées dans les commentaires. Le sien est donc publié sous forme d’article. 

 

Depuis le début du récit, je le lis avec plaisir, une aventure bien américaine avec ses ingrédients indispensables, l’immensité et la diversité du territoire, la police, les truckers, un révolver, etc…, et Marilyn, la belle et fragile Marilyn que j’ai toujours aimée, pas seulement dans ses films et ses photo dans les magazines. Il y a trois portraits dessinés qui m’ont toujours interpellé. Le premier est le portrait peint par Andy Warhol. Le deuxième est l’affiche du film « Quand la ville dort » (The asphalt jungle) dans lequel elle joue un tout petit rôle de débutante et pourtant c’est elle qui tient la place prémonitoire de star sur l’affiche. Je ne connais pas l’origine du troisième mais il exprime parfaitement qui était Marilyn. Paix à son âme!

11 réflexions sur « Marylin »

  1. @Paddy. Moi aussi je méfie de Jim depuis l’histoire des pipi-room du Luxembourg.

  2. @Lorenzo. Moi, gonflé? Mais c’est que je le connais bien le Jim. Il a toujours la posture de ses ancêtres Mac Odach dont la devise était « nec vi nec astucia » (ni par la violence ni par la rouerie) dont l’un fut l’inventeur d’un appareil photographique portable sans attirail encombrant qu’il appella « vest pocket » et qu’il commercialisa sous la marque Kodak en référence à la prononciation du patronyme de son clan. Cette filiation lui attribue quelques privileges, enfin, c’est ce qu’il croit. C’est pas un violent ça c’est vrai, mais la rouerie, la malice, c’est à voir!

  3. Il est gonflé ce Paddy, qu’il se mêle de ses affaires. L’objet de mon article était de montrer des dessins de Marilyn, héroïne apparue dans le récit Go West. Cet article n’était pas un commentaire mais bien un article, parfaitement dans les clous, sans passe droit. J’eus préféré qu’il suscite des réactions sur mon choix de photos et plus encore sur l’apparition de Marilyn dans Go West, récit dont je n’ai pas, pour le coup, beaucoup lu des commentaires depuis sa parution.

  4. @Paddy : je me doutais bien que Jim était le chouchou du maître mais je ne comprends pas l’allusion à ce Lord James Archibald Mac Odach.

  5. Une bonne fois pour toutes,
    — un fait qui a été déjà abondamment exposé, commenté, critiqué mais qui n’en est pas moins incontournable : l’introduction d’une photo dans un commentaire est techniquement impossible.
    — une concession qui déjà été abondamment accordée, commentée et appréciée : la transformation d’un commentaire en un article, avec ou sans photo. L’opération, qui se fait toujours après accord de l’auteur, demande un certain travail de l’éditeur, le moindre n’étant pas de transférer les photos sur le site du blog.
    — de mémoire d’éditeur, en plus de dix ans, il n’y a eu sur le JdC qu’une seule censure. Elle s’est exercée à l’encontre de RJR dont un commentaire manquait de tact à l’égard d’un membre du groupe de presse. L’auteur avait été averti personnellement de la censure et de ses raisons.
    — il est heureux que les Corneilles n’aient pas été illustrées de photos, car je ne publie jamais de portraits de membres du cercle familial ou amical.
    — le chef est le chef et c’est lui qui commande
    — à force de crier au loup qu’à la fin il se casse
    — mais rien ne sert de gémir avant que ça fasse mal

  6. @Lorenzo. Je le sais moi. C’est parce que Jim bénéficie d’un privilège ancestral qui remonte à son ancêtre Lord James Archibald Mac Odach.

  7. D »abord, on écrit « on N’en a pas eu » et non pas « on en a pas eu ».
    Na !

  8. JIM…. Le lecteur qui tire plus vite que son ombre: toujours fidèle au RV du JDC des potron minet…
    Normal qu’il soit gratifié d’une prime photos…
    Mais c’est vrai que l’oukase directorial semblait inviolé jusque là : aucune photo avec commentaire.
    Ceci étant , si Lorenzo avait eu le loisir d’illustrer ses Corneilles, le choix eût été cornelien pour le redac chef : dans ce cas rien de mieux que la censure:de toute façon le chef est le chef; et foin de toute susceptibilité , c’est lui qui commande!

  9. D’abord, on dit « Et pourquoi que Jim il a le droit… » et non pas « Et pourquoi Jim il a le droit… ».
    Ensuite les photos publiées accompagnaient un texte.
    Mais c’est vrai que, des textes de Lorenzo, accompagnés ou non de photos, on en a pas eu beaucoup depuis 5 ou 6 ans.

  10. Et pourquoi Jim il a le droit de mettre des photos et pas Lorenzo ?????

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