par Jim
Depuis Mardi, Donald Trump signe à tour de bras des décrets tous plus vengeurs, contestables, ridicules, les uns que les autres, mais tous déclinés haut et fort, ad nauseam, durant sa campagne électorale. Donc, rien à redire, Donald Trump a été démocratiquement élu, et même «bien» élu, sur la base d’un programme annoncé compris du peuple, en tout cas de la majorité qui l’a élu.
Peu importe maintenant, la cause est entendue, mais nous savons depuis toujours deux ou trois choses de Donald Trump : il ne sait rien de l’histoire, il n’a aucune connaissance de la géographie et son vocabulaire se limite à peu de mots. Un exemple illustre ces trois méconnaissances : le mot « golf », Donald Trump croit que ce mot ne s’applique qu’à son passe temps favori et à son domaine le Golf de Mar-a-Lago. Il n’a jamais su que golf a un homonyme : « golfe ». Et c’est ainsi que Donald Trump dans son délire veut que l’appellation Golfe du Mexique cède la place à Golfe de l’Amérique, la sienne bien sûr. Cette exigence d’enfant gâté a fait mourir de rire la présidente du Mexique. Comme elle l’a fait, j’illustrerais la crasse de Donald Trump aussi bien sur l’histoire, et particulièrement celle de son pays, l’Amérique, la géographie et l’orthographe. Cette carte reprend la géographie de l’Amérique du Nord vers 1805, avant que Napoléon vende la Louisianne à la république des Etats-Unis : sur la carte cette toute nouvelle république est colorée en rose, elle est peu de chose, 17 états quand même, 4 de plus qu’à sa création à peine 30 ans plus tôt. La Louisianne et ses territoires annexes sont en jaune caca d’oie, plus grand que les Etats-Unis. Le gris, sauf les territoires du nord-ouest, est une possession espagnole, avec le Mexique au-dessous. Si vous regardez bien la carte, les Etats-Unis n’ont pas accès à la côte du golfe qui porte alors la nom de Golfe du Mexique, en espagnol bien sûr. La crasse de Donald Trump est incommensurable mais elle est culottée, ça plait au peuple qui l’a élu pour ça. Pour les amoureux du Golfe du Morbihan en Bretagne, espérons que Donald Trump n’acquière pas l’une de ses îles, il serait tenté dans un nouveau délire d’y installer un Trump Golf…
Cela fait partie des communication moderne entièrement centralisé, je ne devais pas envoyé ce dernier message. Il y a que dans le dernier message compréhensible je voulais décrire les quillemets que j’ai mis en les montrant et je les ai décrit dans le texte.
C’est que l’on peut obtenir ces caractères avec les touches maj et alt sur le clavier apple et même si je sais que l’on peut aller sur le site d’Apple pour les trouvers, j’ai voulu me faire un page avec chaque caractère du résultat de sa combinason maj alt. Sauf que l’on ne peut pas le faire directement dans Page le traitement de texte de l’OS Apple ce qui fait que je l’ai fait dans la boîte commentaire du JDC et je voulais faire un copier coller dans Page mais je l’ai envoyé au journal.
Si il y a un intérêt c’est donc de savoir que l’on peut transmettre des informations en intégrant ces caractères. Et ma motivation a été que j’ai utilisé mon pc sous Linux pour transmettre le précédent message incomplet qui contenait le titre entre ces guillemets mais il était absent une fois affiché et validé. Alors je me damandais pourquoi cette partie du message avait disparue puisque c’est la deuxième fois que cela m’est arrivé.
Depuis hier, tel Champollion penché sur le déchiffrage des hiéroglyphes, j’essaie de déchiffrer le message envoyé par Claude. D’abord, est-ce bien lui qui l’a envoyé ou bien un autre, et alors qui? Un hacker qui veut pirater ma carte Visa? Un extraterrestre qui cherche à établir un contact? À cette question je dis attention, grosse méfiance, les autres c’est toujours l’enfer. Quand même, ce message n’est pas totalement abscons. J’y vois trois signes qui ont peut être un sens. En introduction, maj et alt. Majuscule? Majorité? Altérité? Alternance? Alternative? Altruisme? Et le tout dernier signe =/ qui signifie communément une différence. Épuisé, j’ai opté pour majorité alternative différente, le reste du texte devant livrer une explication de ce concept. Si mon analyse est bonne, cela pourrait enfin nous ramener à Donald Trump parce que il faut bien avouer que de commentaire en commentaire on s’était écarter du sujet, parler de Ducky Trump. Dernière nouvelle de lui, à bord de l’Air Force One le ramenant de la Nouvelle-Orléans après sa présence au Super Bowl il a paraphé majestueusement, au nom de sa représentation légitime du peuple américain (se foutant de la séparation des pouvoirs chers à Montesquieu et Jefferson le père de la constitution américaine), le décret qui officialise l’appellation Golfe de l’Amérique dont il était question au départ.
Encore moins !
Pas compris !
maj alt
1≈ 2ı 3ˆ 4˜ 5 6† 7‡ 8• 9± 0— -¿ =–
qŒ w‰ e¯ r® t˘ y˝ u˛ i∏ oØ p” ^„ ç~
aÆ s§ dˇ f fl g fi h · j ‚ k ⁄ l … è ’ à `
ù Ω z ‹ x › v ◊ b ≤ n ≥ m º , x . ÷ é ≠
La premiére consultation du journal les Coutheillas que j’ai fait est par la « théorie de la bêtise » dans le précédent texte la partie qui a disparue était entre un v double de côté vers la gauche au début et la droite à la fin du titre et il a disparue du commentaire.
Au fait, je me rappelle avoir consulté ce journal par le sujet .
Il y a un peu de cela, l’euphorie, l’audace, et le fait que même en me relisant je ne vois pas toutes les erreurs orthographiques, je me l’explique par un problème visuel longtemps toléré qui déformait ma vision de sorte que ma capacité lecture devenue très pénible a réduit considérablement mes lectures. C’est comme si j’avais une écriture automatique qui correspond parfois à de l’inédit et aux éveinements contradictoire de ce qui se raconte.
J’ai due mettre un certain temps pour réapprendre à voir, un peu, je suppose à la façon d’un dislectique. J’ai lue un article S&V expliquant la vision du dislectique est le repère dans chaque oeil est le même de sorte que le cerveau ne peut interprété la différence de l’oeil droit du gauche. Hors mes yeux voyait si déformé que je distinguais lettre par lettre en bougeant la tête pour arriver à lire un mot bien qu’aupparavant je lisais relativement rapidement. Cela n’élimine pas l’incapacité physique d’être en cause puisque selon mon état de fatigue (en passant je viens de me rendre compte de l’automatisme de mon petit doit sur un clavier qwerty de s’étendre d’où cette faute qui m’a échappé précédemment), donc oui c’est un état second dû à la fatigue (encore). Il y a une raison à tout mais ce n’est pas pour cela qu’être purement cartésien amène des solutions quand on essaie de comprendre ce qui se passe pour ne pas que cela soit autoréalisateur, parce que je pense que nous savons suffisamment de chose pour savoir que nous ignorons, même s’il y en a qui ignore d’ignorer, comme le chantait Brel. Pour moi c’est caucace et banal à la fois, mais révèle je pense des faille qui pourrait, à condition d’être conscient, activer la réflexion par une réaction modérer causer par des perturbateurs dont on prends acte sans réagir sur cela en décalage inconsidérer.
Bon j’espère avoir bien choisi mes mots.
Je reprends au rebond la balle lancée par Jim et renvoyée avec la dernière réponse de Claude.
Qu’est-ce qu’un état second ?
Selon la médecine, c’est un état dans lequel la conscience est altérée, où l’on n’est pas en pleine possession de ses moyens.
Mais la médecine a ses limites et on peut penser que ce n’est pas dans ce sens que Claude a utilisé cette locution.
Disons alors que l’état second, c’est peut-être cet état, souvent euphorique, dans lequel il arrive qu’on se trouve, sans nécessairement avoir consommé de drogue ou d’alcool, et qui fait que l’on se sent doué d’un grand courage, d’une belle agilité mentale, d’une grande perspicacité , d’une formidable rapidité d’esprit, d’une étonnante capacité de raisonnement.
Dans un état second de ce type, il arrive que l’on fasse des choses étranges, que l’on accomplisse des performances inhabituelles, que l’on prenne des risques osés… Il arrive aussi que cet état second nous permette d’écrire des choses peu ou pas compréhensibles au commun des mortels, comme les textes délirants d’Antonin Artaud, parait-il. Je dis paraît-il parce que je n’ai jamais lu Artaud.
Si, dans un texte, les fautes d’orthographes, de ponctuation ou de syntaxe peuvent parfois gêner la lecture, il est rare que ces fautes, explicables en particulier par l’existence d’un état second, empêche le lecteur d’en comprendre le message.
Mais un état second, un peu comme la transe ou, dans un autre domaine, l’écriture automatique, transforme souvent le mode de raisonnement de l’auteur. Il s’affranchit alors de la logique habituelle, des règles d’un raisonnement plus ou moins cartésien. Il adopte des ellipses, des métaphores et des images inattendues, quand ce n’est pas un vocabulaire venu d’ailleurs.
Le lecteur du texte qui, lui, n’est pas supposé être dans un état second, du moins pas dans le même, a parfois du mal à le suivre.
C’est pour cela qu’il est important, quand on écrit un message, de le relire en se mettant à la place du destinataire et de se demander si la logique, les allusions, les images, les références, les non-dits pourront être compris de lui.
Sinon, à quoi ça sert qu’il se décarcasse, l’auteur ?
Je ne parle pas d’une vigilence parfaite et absolue, ce qui est intéressant c’est l’échange des idées qui sucite l’intérêt dans l’altérité. Je vois des fautes grammaticales en me relisant justement et je me demande comment se fait-il j’ai écrit cela comme ça?
La densité de mes texte provient du fait que j’écrit dans un état second. Pas sous influence alcool ou tout autre drogue. Et oui un article peut induire une interprétation erronnée et amener des combats infructueux.
C’est justement ce que j’essaie de transmettre dans mes textes de rendre palpable la pensée et ses coulisses. Quand on lit une oeuvre il y a toujours une interprétation en oeuvre qui traduit notre histoire et nous raconte à nous-même. « Il y a de l’universelle d’ici au couin de la rue » disait un certain Gilles Vigneault.
Au plaisir!
Reprenant tes mots, Claude, pour éviter la confusion et le combat improductif, la vigilance doit imposer à l’émetteur d’un propos à se relire car c’est pas au lecteur de le faire.
Ouin, je ne suis pas politicien, cependant je pense difficile dans la mêlé qu’un politicien se permettre d’être distant et proche en même temps de ses dossier. D’une part on rallie les troupes autour d’une demande des électeurs tout en se montrant différent, ce qui engendre dans sa conception même un biais démontrant que notre partie est le plus valide d’être élue. La technocratie souvent rend confus et se limite dans l’inovation, le développement devient souvent une menace et il est polarisé par l’opposition qui sous prétexte de sécurité reste cantonné dans la difficulté à rendre des comptes.
Comme les électeurs voient confusément une différence là ou il leurs semblent qu’il ne devrait pas y en avoir ils délaissent leurs droits, et subissent dans la confusion un débat qui n’est plus qu’un combat lointain, visible que par des observateurs avertis par une synthèse fabriquée, en leur conscience, des éveinements perçu dans l’actualité. C’est mon cas. Lorsque j’en parle je constate un certain indifférence tout au plus un ébranlement superficielle et je passe pour un gougou sympathique. Donc le débat devenue un combat a été, un déclencheur dérivé, dans cette confusion à cause du désintéressement des politiciens entre le politique et la politique confondue.
Par exemple dans la fatigue il arrive que j’écrive dans ce journal sans me relire et de constater qu’à travers ma fatique une dérive s’est immissé dans mon texte à cause d’une ponctuation ou d’un mot mal choisi. Pour un politicien c’est la différence entre la bonne observance et le déraisonnable, il y a, en cela même, un décalage qui si cela lui est étrangé lui dérobe carément son âme, et là il joue un rôle. Les électeurs le voient, qui, le politicien peut s’en amusé et en étant lui-même reste distant ou joue un rôle qui n’est compris que par partisannerie. La démocratie èchoppe dans le rôle joué à découvert dans une inconsistance navrante et pas toujours consciente. Elle est fragile on le voit c’est pourquoi elle nécessite d’être vigilant et non combattant.
Alors là, Claude, je dis chapeau! Ton argumentation, à laquelle j’adhère après l’avoir relue pour en bien saisir tout son sens dans sa densité, est tout à fait convaincante et je me dis « ah, si seulement nos politiciens français pouvaient s’inspirer de ton propos ».
Selon mon avis, j’ai pensé qu’une forme shématisé, de la présentation de cet état de la démocratie, peut ammené davantage vers la réflexion, plutôt que de répondre de manière formel à de la provocation pouvant dériver vers le clivage. J’y vois plusieurs avantage puissant pour amener une élucidation des conflits, un partage des connaissances et des ressources plus équilibrer qui amène la reconnaissance de l’altérité et de sorte que cela nous fait nous rendre compte que c’est la source de la bipolarité des protagonistes.
Je ne parlais pas du fond mais de la forme.
Je comprend que c’est ardu mais si in ne dinne rien à comprendre on ne comprendra pas du tout.
@Claude Un texte ardu dans un style dense qui, pour être mieux apprécié, demanderait quelques éclaircissements.
En affaire donc pas d’affection que de l’affectation. outch!
Y a-t-il un instinct non lier à de la productivité pouvant éconduire un être abject considérant une activité comptable d’objet vivant tel période, consommant tel période, reposant tel période, fonctionnant tel période, libre tel période. Pour qu’une masse sociale acepte d’être aussi sèche dans leur relation il y a surement une instance fournissant une solution profitant de situation difficile pour amener l’entreprise à s’installer de par de nouvelle règle du jeu, et cela de manière très naïve, pour éviter les frontière. Un seul bonhomme ne peut être crue que si on reste interdit d’être si on n’est pas ce bonhomme, il n’y a que le totalitarisme assimilé qui permmettrait une si pernicieuse destruction de la démocratie.
A propos de Wokisme, c’est quand même étonnant ce grand silence des Éveillés depuis quelques mois, en réalité depuis novembre dernier. On ne les entend pas beaucoup protester, on ne les voit pas beaucoup manifester sur les belles pelouses des campus contre les actes signés par la Brute Maximale pour supprimer toute trace de politique DEI, de protection des minorités, de lutte contre les discriminations de toutes sortes.
Remarque, on les comprend, les Wokes. Il va y avoir intérêt à la fermer dans les années qui viennent si on ne veut pas être inculpé pour activités anti-américaines.
Tout est en place pour que renaisse la joyeuse époque du MCCarthysme. Comme quoi, une connerie chasse l’autre . Ce qui n’empêche pas l’Histoire de continuer à bégayer.
Pour moi, le wokisme est en grande partie responsable du glissement des électeurs US vers les Républicains.
J’écrivais ceci il y a 13 mois :
(…) Eh bien non ! Il s’avère qu’une majorité d’Américains s’apprête à voter pour Donald Trump, et cela en toute connaissance de la nature de ses projets ; parce qu’il ne s’en cache pas, le bougre ; sur l’Ukraine, Israël, Taïwan, l’OTAN, l’écologie, on sait déjà à quoi s’en tenir.
A moins de dix mois des élections présidentielles, les sondages sont tous en sa faveur.
Pourquoi donc ? On pourra toujours dire que c’est parce que c’est l’Amérique, c’est Business first, America first, isolationisme first. Mais ce n’est pas suffisant.
Mon explication à moi, c’est que la gauche du parti démocrate, par ses actions et ses déclarations, se présente comme un repoussoir pour les électeurs modérés des deux partis, Démocrates et Républicains (car il y en a, des modérés).
Elle a souvent fait comme ça, la gauche démocrate. Vous vous souvenez de Bernie Sanders ?
Mais cette fois-ci, c’est pire. Le Wokisme exacerbé, qui ne sévit pas, comme on le croit trop, que dans les universités mais aussi dans le monde des affaires, du spectacle et de la presse, exaspère et fait peur aux modérés des deux camps. C’est peut-être à tort (personnellement j’en doute) mais le Wokisme exaspère (il suffit de lire le New York Times pour être exaspéré) et fait peur (il suffit d’entendre Claudine Gay, ex-présidente d’Harvard). Il est à craindre que beaucoup de ces modérés des deux camps qui auraient bien pu voter pour Joe Biden, les uns par dégoût du Donald et les autres par fidélité démocrate, ne le feront pas. Et, en novembre prochain, leur abstention ou leur vote contraire risque bien de faire tomber les Démocrates et, cette fois-ci, la démocratie. (…)
Pour Claude, une citation de Romain Gary :
« Le signe distinctif par excellence de l’intellectuel américain, c’est la culpabilité. Se sentir personnellement coupable, c’est témoigner d’un haut standing moral et social, montrer patte blanche, prouver qu’on fait partie de l’élite. Avoir mauvaise conscience, c’est démontrer que l’on a une bonne conscience en parfait état de marche et, pour commencer, une conscience tout court. Il va sans dire que je ne parle pas ici de sincérité, je parle d’affectation. »
J’ajoute à ce dernier commentaire que Elon Musk, autrefois politiquement démocrate, a adhéré au trumpisme par rejet du wokisme, pour une raison purement familiale, mais surtout parce qu’il a véritablement l’esprit pionnier et conquérant de l’Amérique d’autrefois.
PS @Lorenzo: le cycliste n’a aucune chance dans la jungle.
Trump, oublions Musk pour l’instant, est bien un monstre sans morale. Malgré sa démarche éléphantesque il n’a pas l’once de la conscience morale d’un éléphant, animal grégaire qui sauvera toujours un éléphanteau orphelin. Trump n’est pas Babar. Je ne reconnais qu’une vérité dans la conscience de Trump, c’est celle d’avoir reconnu que l’Amérique, celle dont son instinct de prédateur lui avait révélé une opportunité à exploiter, en avait mare de la morale woke orchestrée par les démocrates et souhaitait revenir aux valeurs mythiques de l’Amérique pionnière et conquérante d’autrefois avec la suprématie de l’homme blanc, les latinos et même les africanos adhérant à ce modèle pionnier qui leur donnait enfin une chance réelle d’y participer. Dans le Livre de la Jungle, Trump jouerait le rôle du tigre Shere Khan.
Je conçois que dénaturer l’altérité permet toutes les excessives intentions mais il vaut mieux que le déterminisme sans conscience. Quel réadaptation pourrait -t-on envisager au regard d’une divergence sans déférence considérant une intention de clouer le bec à l’intention des élites polititiques en place, par un contraste sans nuance, éblouissant tout ceux qui le considérent un sauveur. J’apelle cela travaillé en double aveugle.
J’ai appris si je ne m’abuse qu’il a installé un buste de Winston Churchil et si je ne m’abuse encore dans le burreau ovale. De plus il a été déclaré coupable de certain chef d’accusation sans que ceux qui le soutienne ne se rétracte dans leur intention de vote,
se sentir coupable pour avoir de la morale, ouais il n’est pas un intellectuelle, et être intellectuelle qui se sens coupable n’a que la sursimplification par paresse intellectuelle et l’être.
Il y a des problème qui n’ont pas de solution sans une morale, cependant le problème est dans une situation amorale malgré les apparences. Il faut être visionnaire pour envisager le problème.
Le monstre Trusk aurait-il une conscience, bonne ou mauvaise? Il n’en a tout simplement pas, il n’a que l’instinct de la brute épaisse.
Pour poursuivre, car je n’ai pas eu le temps après le copier coller. Il est contradictoire que la culpabilité soit le moteur d’une morale. C’est plutôt le biais cognitif qui laisse patauger dans le vortex mental d’une conscience fragile qui n’a qu’elle même à conforté dans son étalonnage de réalités, en devenant virtuose d’une désensibilisation altruisme. Sa privation de relation transformé en un soliloque isolé de l’altérité le transforme daventage en misanthrope qui s’excuse de l’être.
Le signe distinctif par excellence de l’intellectuel américain, c’est la culpabilité. Se sentir personnellement coupable, c’est témoigner d’un haut standing moral et social, montrer patte blanche, prouver qu’on fait partie de l’élite. Avoir mauvaise conscience, c’est démontrer que l’on a une bonne conscience en parfait état de marche et, pour commencer, une conscience tout court. Il va sans dire que je ne parle pas ici de sincérité, je parle d’affectation.
Ça a été publier en 2021.
Hello Claude! Long time no hear! Ou plutôt long time no read! Pas vrai Rodrigo?
Long time no see !
Welcome back, Claude !
Quand les sociétés ont besoin d’un papa gâteau, il n’y a pas de quoi motivé la réflexion puisque les réflexes leur suffit. Grand papa leur a proposé de couper les méchant fantanil pour les protéger, ceux qui l’ont porté au pouvoir.
On arrive à un désordre qui démotive le peu d’opposition qui pourrait amener un équilibre correspondant réellement à ce qu’on attend d’une démocratie. Et cela c’est en anéhilant toutes oppositions par une attitude sauvage tout comme un fauve poursuivant son gibier. mais puisque c’est un aigle il voit de haut ceux qui s’oppose. Il se trouve qu’il y a une limite pour un aigle, symboliquement, et pourrait-on croire que l’homme réel soit un humain désumaniser et simplement l’éliminer. Mettons nous dans sa peau et demandons nous quel objet transcende sa détermination de par les méandre de ces politiques distortionnés qui semble si petite vue de haut. Une logique unique? Si réducteur soit les décrets qu’il prend cela banalise le résultat dans une mentalité créationiste. Je pense que son efficacité réside dans la croyance, fausse, piégeant la réflexion.
C’est aussi ce que je pense totalement. Comme pour les grandes pandémies, la peste, la grippe espagnole, la Covid, laissons le mal s’installer, puis tâchons d’en limiter les effets, développons nos forces immunitaires et travaillons à l’éradication. Ce ne sera pas facile, mais ce n’est pas une raison pour baisser les bras comme certains s’enthousiasment déjà à le faire.
J’aurai l’occasion prochainement de proposer au JDC un petit essai intitulé « Parlons des États Unis » basée sur l’expérience que j’ai de ce pays et les réflexions qu’il a toujours suscitées en moi, positives et négatives. L’Amérique est selon moi comme une pièce de monnaie, un côté pile (qui sera le côté positif) et un côté face (qui sera le côté négatif), qui tente vaille que vaille à rester sur sa tranche, se renversant tantôt sur pile tantôt sur face.
En fait, l’élection de Donald Trump, l’Agent Orange, le défoliant définitif, c’est plutôt une bonne chose.
Hein ? Quoi ? Comment ? Une bonne chose, ce chef de bande, mégalomane et ignorant, revanchard et malhonnête, ce dictateur en devenir ?
Eh oui, une bonne chose… Imaginez ce qui se serait passé si les urnes ne lui avaient pas été favorables. Il l’avait lui-même annoncé : « a bloodbath ». Pensez donc, des sympathisants devenus zélotes, chauffés à blanc par quatre années d’allégations de « vol d’élection», riches de l’expérience d’un coup d’état presque réussi, par avance pardonnés, que croyez-vous qu’ils auraient fait, ceux à qui on avait dit et répété «si je perds cette élection, c’est qu’il y aura eu une fraude massive par les démocrates »?
Ne croyez-vous pas qu’ils seraient descendus dans la rue ?
Finalement, ils l’ont échappé belle, les Américains.