The head
Jorge Dorado
MyCanal
C’est une production internationale et cela se sent dans la distribution et l’hétérogénéité des comédiens, plutôt inégaux.
Ç’aurait pu être « The Thing« , ce superbe huis clos d’épouvante dans une station polaire de John Carpenter (1982), lui-même remake d’un film qui m’avait bien fait peur quand j’avais dix ans, « La Chose d’un autre monde« . Le début de la première saison est intéressant, mais rapidement, on s’aperçoit que ce n’est qu’un prévisible et grand-guignolesque « Dix petits nègres » à la sauce hémoglobine antarctique.
La seconde saison commence, elle, de façon tellement ridicule et tellement mal jouée que je n’ai pu avaler que son premier épisode.
En un mots comme en cent : mauvais (et même assez ridicule)




Arlette Ratinet rêvait de célébrité. Dès l’âge de dix ans, après qu’elle ait vu trois saisons d’affilée de The Voice, Top Chef et Des Chiffres et des Lettres, porter, comme Valérie Damidot ou Laurence Boccolini, un nom célèbre devint chez elle une obsession. Pour elle qui était née à Guéret-dans-la-Creuse, ou plus précisément dans une ferme à douze kilomètres de Guéret-dans-la-Creuse, elle qui avait passé son enfance à jouer avec les poules de la basse-cour et les crapauds de la mare, son adolescence à mener les vaches au taureau et les veaux à l’abattoir, ce n’était pas gagné d’avance.