La Tour Eiffel qui tue !
Dans les années cinquante du siècle dernier, était parue une courte comédie musicale, pleine d’invention et de talents. Le texte était de Guillaume Hanoteau, la musique de Georges Van Parys, l’orchestre était celui de Michel Legrand, la mise en scène d’Yves Robert et parmi les comédiens et chanteurs de la troupe de Michel de Ré, on trouvait Mouloudji, Judith Magre… et j’ai oublié les autres.
L’argument était le suivant : A la fin du XIXème siècle, à Paris, une série de meurtres est attribuée à la tour Eiffel qui vient d’être construite. Le jeune poète Christophe, sa fiancée Marie-Nuage Eiffel, et Hyène de Tigris, une demi-mondaine, refusent de croire à la culpabilité de la tour tandis que trois polytechniciens s’acharnent à soutenir le contraire. Alors Continuer la lecture de La Tour Eiffel qui tue !


Ce matin-là je me trouvais sur une grande place, en terre battue, un peu à l’extérieur de la capitale. J’ai pu m’approcher discrètement sans difficulté, malgré le fait que l’ensemble était gardé par l’armée. Je me disais modestement, que je ne n’étais pas un touriste, que mon visage commençait à être connu au centre-ville m’ayant souvent vu avec Chantal, on me surnommait: «Monsieur Madame   Pharmacie»
Le marché d’Ayorou
 Elle se continuait en latérite, très abîmée et poussiéreuse. La route passait