Dans la seconde partie de son article du 16 décembre dernier, celui dont la première traitait de la photographie en noir et blanc et en couleur, Lorenzo abordait de façon critique — au sens neutre du terme, cette précision étant donnée pour éviter de froisser une éventuelle susceptibilité — le sujet de l’écriture et, plus précisément, la question du « bien écrit ». Cette partie de son texte commençait d’ailleurs par ces mots : « C’est bien écrit. » Les lignes qui suivaient montrait bien tout le mal que pense Lorenzo de cette expression, si courante dans les conversations entre amis, mais régulièrement absentes des débats littéraires.
En répondant ici à l’article de Lorenzo, mon intention n’est pas de débattre du bon ou du mauvais usage de « C’est bien écrit », mais de poser quelques questions quitte à apporter quelque contradiction à la thèse selon laquelle « pour qu’un livre, roman ou essai, soit réussi, il faut d’abord et avant tout qu’il soit « bien écrit » ».
Et d’abord qu’est-ce que le « bien écrit » ?
On assimile souvent Continuer la lecture de La belle écriture