8- En un mot comme en cent : OVNI(s)

OVNI(s)
Antony Cordier – 2021 – MyCanal – 2 saisons de 24 épisodes
Melville Poupaud, Michel Vuilllermoz, Géraldine Pailhas, Quentin Dolmaire, Daphné Patakia

 En 1978, un ingénieur du CNES mis au placard après l’échec d’un lancement de fusée spatiale, prend le poste de directeur du Groupe d’Études des Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés (GEPAN), un obscur service chargé d’enquêter sur les OVNIs. Le GEPAN n’a pas de moyens et, quoique de bonne volonté, ses trois employés sont pour le moins fantaisistes et l’ingénieur va devoir se débrouiller avec ça.

Tout dans cette série est complètement démodé, désuet, daté, mais c’est bien sûr volontaire, c’est l’esprit de la série. Les coiffures, les costumes, les voitures, les bureaux (ah ! les bureaux !), tout respire les années Giscard. Le scénario est branque, mais pas absurde, ne vous y trompez pas, ce n’est pas de la farce, c’est léger, c’est charmant, c’est de la poésie. Et en plus, les comédiens…

En un mot comme en cent : GO !

Bon ! J’ajoute au dernier moment que la saison 2 n’est pas au niveau ! 

 

 

3 réflexions sur « 8- En un mot comme en cent : OVNI(s) »

  1. A la demande de la rédaction, je me vois dans l’obligation d’apporter une modification à mon commentaire en raison d’une erreur lexicale dont pourrait légitimement se plaindre madame l’Arrière-Joie. En effet, l’expression « rouler une personne dans la farine  » est, non pas coquine, mais péjorative car elle signifie tromper. Loin de moi cette idée ! Non, chambrer me semble bien plus adapté bien qu’évoquant à la plupart d’entre vous des choses frivoles. Donc, je modifie immédiatement mon commentaire dans le sens voulu par la rédaction.
    Par respect pour les défenseurs de la langue française, et je sais qu’ils sont nombreux, je vous laisse choisir lequel de ses trois sens il convient de donner au mot chambrer (qui m’a été imposé) :
    – se moquer d’elle (de lui) en paroles.
    – la (le) mettre à la température de la pièce, la (le) réchauffer légèrement
    – ensemble des personnes qui couchent avec elle (lui) dans une même pièce.

  2. Lorenzozo distingue, depuis qu’il connait notre vénérable chef, l’auteur et son œuvre. J’ai un profond respect et une réelle affection pour l’Arrière-Joie ce qui ne m’empêchera jamais de la rouler dans la farine dès que l’occasion se présentera. Comme disait ce collègue de Philippe dont j’ai oublié le nom : « Qui aime bien châtie encore plus ».

  3. Excellent documentaire hier à la TV (!!!)sur le grand Gustave: temps de gestation de ses romans , cinq ans en moyenne….
    Que fût devenu son inspiration s’il avait eu accès à net flix?
    Et que Lorenzozo n’aille pas me taxer de flagornerie : c’est une question innocente….

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