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Après de longs mois d’hibernation, voici que René-Jean réapparait à propos de la Critique aisée que j’avais publiée mercredi dernier sur le recueil des nouvelles de Conrad.
Désolé de ne point intervenir sur l’œuvre de Joseph Conrad dont Philippe souligne ici la beauté littéraire et descriptive qui me laisse bouche-bé d’admiration. Par contre, je crois pouvoir corroborer et modestement préciser les propos d’introduction suivants :
« … on dit que la langue anglaise présente une certaine souplesse qui lui permet de se prêter aux influences étrangères, tant qu’elles demeurent raisonnables et décentes. C’est pourquoi Conrad avait choisi pour écrire l’anglais et non le français qu’il parlait pourtant aussi bien mais dont il disait qu’elle (sic) était une langue de cristal, impossible à tordre sans la briser. »
Bien que fervent serviteur de paradigmes humanistes portant sur la communication humaine, les hasards de Continuer la lecture de Rendez-vous à cinq heures avec la langue