Archives de catégorie : Thème imposé

À moi, il m’arrive de penser

temps de lecture : 1 minute, pas plus
À moi, il m’arrive de penser :

— qu’un hématome qu’on se fait au boulot, ça s’appelle un bleu de travail

— que le doute, ce n’est pas de dire que telle affirmation est fausse, c’est envisager qu’elle puisse l’être 

— que sans la mémoire, le mensonge n’existerait pas longtemps

— que l’autodérision, c’est le propre du gentleman, et la dérision, celui du rabougri

— que le sage n’a pas d’ennemi, mais Continuer la lecture de À moi, il m’arrive de penser

Rendez-vous à cinq heures : ‘’De la difficulté à se faire comprendre’’

la page de 16h47 est ouverte…

temps de lecture : 4 minutes. Ce ne sera pas trop long ? 

De la difficulté à se faire comprendre

Avertissement : le texte qui suit vient à la suite de l’article intitulé ÉCRIRE paru dans le JdC le 28 décembre dernier, en réponse aux commentaires que cette publication avait suscités. Si vous n’avez pas lu cet article et ses commentaires, il est possible que vous ne compreniez pas grand-chose à ce qui suit. Mais j’ai l’habitude.

C’est quand on essaie de tenir des propos nuancés ou équilibrés, surtout s’ils sont tenus à travers des textes de plus de trois phrases et de deux idées, que l’on s’aperçoit qu’il est parfois difficile de se faire comprendre.
Sur la chasse, par exemple, que, dans un commentaire, Continuer la lecture de Rendez-vous à cinq heures : ‘’De la difficulté à se faire comprendre’’

Rendez-vous à cinq heures : Cinéma et littérature, quelle différence ?

Temps de lecture : 4 minutes


la page de 16h47 est ouverte…

Le texte qui suit vient en réponse à la question posée le 26 décembre dernier dans ces mêmes colonnes par Lorenzo dell’Acqua. Vous pouvez retrouver la formulation de cette question en cliquant sur le titre ci-dessous. Vous pourrez aussi de cette manière lire les commentaires y afférents de Lariegeoise, Jim, Claude et Lorenzo. 

Rendez-vous à cinq heures : cinéma et littérature

 

Terminologie : Dans les lignes qui suivent, on trouvera à de nombreuses reprises la locution « chef d’œuvre ». Si nous l’avons utilisée, à regret d’ailleurs, c’est pour rester dans le cadre lexical de la question posée. En lieu et place de « chef d’œuvre », nous aurions préféré parler de films bons ou super, ou chouettes, ou réussis, et réserver « chef d’œuvre » à une centaine de films dans l’histoire du cinéma. Mais on ne fait pas toujours ce qu’on veut, pas vrai ? Alors, pour contrebalancer l’excessif « chef d’œuvre », nous avons rassemblé sous le tout aussi excessif vocable « daube » les films moyens, pas très réussis, ratés, les films bof, les mauvais, les très mauvais et les daubes  

Cinéma et littérature, quelle différence ?

Le thème imposé, c’est donc de « se demander comment un chef-d’œuvre littéraire réussit à être aussi un chef-d’œuvre au cinéma« .

Si l’on veut bien filer un peu Continuer la lecture de Rendez-vous à cinq heures : Cinéma et littérature, quelle différence ?