Heures supplémentaires
Grace aux heures supp. Go West ! (96), c’est pour demain.
Grace aux heures supp. Go West ! (96), c’est pour demain.
Place des deux écus – Paris
Du coup — comme on dit aujourd’hui bien qu’on ne voie pas de quel coup il s’agit ni d’où il vient — Go West !, ça repart avec le 96ème épisode, au moins pour deux ou trois numéros écrits pendant les dites vacances.
Go West !
Compte tenu du temps écoulé depuis la parution du dernier épisode, il n’est peut-être pas totalement inutile de vous rappeler où nous avions abandonné le Narrateur la dernière fois que nous l’avons vu, c’est à dire au 95ème épisode.
Eh bien, c’était dans une Lincoln Continental, Continuer la lecture de Retour au bureau
Couleur café
diffusé pour la première fois le 8 juillet 2014
Le Soufflot, rue Soufflot
Cet après-midi, je me suis installé tranquillement avec ma canne anglaise et mon iPad à la terrasse du café Soufflot. Il faisait doux et j’avais soigneusement choisi une table à l’extérieur, avec banquette en vannerie perpendiculaire au trottoir. De cette manière, je faisais face au bas de la rue, avec en horizon la cime des arbres du Luxembourg. J’ai commandé mon demi pression à un garçon pour une fois aimable, qui m’a servi dans les deux minutes une bière très comme il faut.
J’ai sorti mon iPad, je l’ai ouvert et je l’ai connecté à Internet par le biais du réseau wifi du bistrot. Ça a marché tout de suite.
Tout allait donc bien, très bien même. J’étais en paix avec le quartier pour ne pas dire avec l’Univers, dans des dispositions d’esprit parfaites pour travailler mon texte sur cette gentille petite scène dont j’avais été le témoin il y a quelques mois dans un autre bistrot, celui du haut de la rue Gay-Lussac, et à laquelle j’avais donné comme titre provisoire: « Le bon, la brute et les enfants ».
J’ai entrepris de relire l’ébauche que j’avais écrite le jour même de la scène.
Et puis, c’est arrivé. J’ai commencé à percevoir la voix Continuer la lecture de Le stockfisch et la méduse
Grand Palais – Paris
C'est le programme minimum de l'été. Alors, on rediffuse :
To be or not to be
Ernst Lubitsch – 1942
Jack Benny, Carole Lombard
Désœuvré comme souvent et libre comme parfois et comme l’air, je passai l’autre jour devant ce qui, pour des générations d’étudiants, restera pour toujours le lieu intime où ils ont découvert l’art du cinéma, Le Champollion. J’ai déjà écrit sur cette salle et je ne vais pas vous refaire aujourd’hui le coup de la nostalgie, mais vous pouvez toujours retrouver l’article que je lui avais consacré en cliquant sur ce lien
https://www.leblogdescoutheillas.com/?p=9313
Donc, je passai devant le Champo. Il devait être 11h40, ou 45 à la rigueur, et la vitrine annonçait pour 12h10 To be or not to be ! Ça devait bien faire quelques années, au moins cinq ou six, que je n’avais pas revu To be or not to be. Alors, un petit tour devant la vitrine de La Compagnie pour passer le temps et hop, au Champollion !
Dans la salle, nous devons être cinq ou six. Si je suis le plus âgé, ça ne doit pas être de beaucoup. Quelques publicités, quelques annonces : La Strada, Buffet froid, Milou en mai… que du beau monde. La salle s’éteint. Continuer la lecture de To be or not to be : what is the question ?
Cliquez seulement sur le titre, une fois, sans oublier de mettre le son.
par Céleste Boursier-Mougenot – Collection Pinault – Paris
C'est le programme minimum de l'été. Alors, on rediffuse :
Cliquez sur le titre ci-dessous et vous verrez s’ils n’ont pas l’air con, ceux-là !