Archives par mot-clé : Cinema

En corps – Critique aisée 228

Critique aisée n° 228

En corps
Cédric Klapisch -2022
Marion Barbeau, Denis Podalydes, François Civil, Pio Marmaï, Souhelia Yacoub…

Sur un scénario totalement prévisible, le sujet du dernier Klapisch, c’est la reconstruction d’une danseuse classique après un accident de scène. Autant le dire tout de suite, ça va marcher.
Pour une fois, dire que le scénario est prévisible pas à pas est loin d’être une critique négative. Ce qui serait un défaut dans un autre genre de film donne ici au spectateur une sécurité, une sérénité, pour tout dire un confort intellectuel et un réconfort moral tout à fait bien venu par les temps qui courent.

En corps est un de ces feel-good movies dans lesquels, dès qu’est passée la crise initiale justificative du film, on sait qu’à peu près tout va bien se passer : Dumbo va retrouver sa maman, Cendrillon va rencontrer son prince charmant et la star hollywoodienne va finir Continuer la lecture de En corps – Critique aisée 228

Rendez-vous à cinq heures : souvenir de cinéma (20)

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Un homme est passé
Bad day at Black Rock

Un film de John Sturges de 1955, une Série Noire ultra classique, ou un  western si on veut tenir compte du décor : un homme seul, handicapé de surcroit, face à une petite ville pourrie. La scène qu’on va voir est de celles qui réconfortent le spectateur de bonne foi : celle où le gentil qui n’a qu’un bras (Spencer Tracy, éternel redresseur de torts)  va casser la figure à la grosse brute (Ernest Borgnine, sempiternel méchant), sous les yeux du maître de la ville (Robert Ryan, souvent ambigü) et de son  homme de main (Lee Marvin, future star d’Hollywood).

 

Rendez-vous à cinq heures : souvenir de cinéma (18)

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COUP DE TORCHON
Bertrand Tavernier – 1981

Inspiré d’un roman de 1966 de Jim Thompson, 1275 âmes, transposé en Afrique par Tavernier, ce film donne des rôles en or a tout un tas de comédiens, Philippe Noiret bien sûr, mais aussi Stéphane Audran, lascive et molle, Eddy Mitchell (Ah! Eddy Mitchell), Isabelle Huppert, toute jeune et provocante, Guy Marchand, Jean-Pierre Marielle et quelques autres, tous excellents. Une vision très positive de la colonisation dans les années 50.

 

Rendez-vous à cinq heures : souvenir de cinéma (16)

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The Commitments 
Alan Parker- 1991

Parmi mes bons souvenirs de cinéma figurent ce film d’Alan Parker, The Commitments, l’histoire d’un groupe rock éphémère dans les rues de Dublin des années 80. A voir absolument. A écouter aussi absolument cette interprétation d’anthologie d’un succès d’Otis Redding :

Try a little tenderness

Essayez donc un peu de tendresse en cliquant sur ce lien :

https://www.youtube.com/watch?v=PKfHC5eY5C

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Rendez-vous à cinq heures : souvenir de cinéma (15)

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Drôle de drame
Marcel Carné-1937

Sans aucun doute le film le plus cinglé du cinema français, un chef d’oeuvre d’absurdité dialogué par Prévert, avec Michel Simon, Louis Jouvet, Jean-Louis Barrault, Françoise Rosay, Jean-Pierre Aumont… dans des rôles (dont un double pour Simon) qui leur permettent tout et le reste, le film où Continuer la lecture de Rendez-vous à cinq heures : souvenir de cinéma (15)

Souvenir de cinéma (14)

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Pain et chocolat

Franco Brusati – 1974
avec Nino Manfredi

Une comédie dont le personnage central, Nino Manfredi, est un italien émigré en Suisse qui cherche sincèrement à s’assimiler. Ce n’est pas toujours le cas dans les comédies italiennes de ces années-là, mais ce film-là reste subtil et délicat, tant dans la satire  des Suisses que dans celle des Italiens.

Pour un court extrait, cliquez sur le titre en rouge ci-dessous :

Pain et chocolat

 

Souvenir de cinéma (13)

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La Grande Vadrouille

Gérard Oury – 1966
Bourvil, de Funès

Une grosse comédie, à la limite de la farce, extrêmement drôle, sans vulgarité, une grande comédie, avec un Louis de Funès qui enfonce tout sur son passage, particulièrement dans cette scène « du chef d’orchestre »

Cliquez sur le titre en rouge pour voir un formidable extrait de 4 minutes de de Funès. Ça vous fera du bien.

La Grande Vadrouille