Avec Jacques Gamblin et François Morel, consacrez quelques minutes, dix, vingt, quatre-vingt, à vous perdre dans l’absurde absolu de Roland Dubillard. Vous n’avez pas le droit de vous priver de ça. C’est moins drôle qu’Annie Ernaux mais c’est beaucoup plus rigolo que du Samuel Beckett.
Plusieurs auteurs anglo-saxons se sont plaints que leurs noms étaient utilisés sans autorisation par certains lecteurs anonymes du JdC pour écrire des commentaires venimeux. Ci-joint la liste adressée ce matin à NRCB : Charly Chapelain, Horse Honewell, Don Alltrompe, Bloody Haleine, Sam Well Becquée, Yadle Joy, Aux Doux Succès-Lits, When I am Folk Near, Herr Next Hey Mille Gay, Tes Messies Vilains, Paulo S’Tire, Wild Allstein Bec, Hey Gare à l’Aisne Peau, Jacques Longdown, John Einstein Bec, Phill Ripworth et Johnny Rewing.
Le nombre de nouveaux commentateurs sur le JDC augmente ces derniers jours. Réjouissons-nous et espérons que les anciens ne perdent pas la main.
Cela dit, le commentaire du nouveau venu Charles Diquennes, à qui je souhaite au passage la bienvenue, m’interpelle. Oui, le nonsense britannique est une marque de fabrique de ce pays et une nécessité absolue pour survivre à son climat pluvieux, comme le black pudding au petit déjeuner ou une tasse de thé en toutes circonstances, mais malheureusement ce n’est pas celle de ce côté-ci du English Channel sauf pour quelques uns amateurs des Monthy Python et Jerome K. Jerome, et, pour les plus anciens, de Pierre Daninos, un fin observateur des différences entre les Britts et les Frogs.
Les diablogues, peu accessibles, mais comble de l’élégance, de la distance, du raffinement, de la décadence et toute cette sorte de choses. Du non-sens qui mériterait d’être anglais et ainsi de devenir du nonsense britannique, à anoblir absolument, immédiatement et conjointement par Charles III et John Cleese enfin réunis.
Cela est totalement inepte ! La preuve, c’est que je n’ai rien compris.
C’est le deuxième jour que Les Diablogues sont à l’affiche, et pas un commentaire !
C’est absurde !