7 réflexions sur « Good vibrations »

  1. C’est pas tableau c’est un drapeau, sauf qu’il manque la banane qui devrait normalement être brodée sur le rouge.

  2. Les critiques injustes dont est victime notre bien aimé San Lorenzo feront l’objet d’un séminaire retentissant au Vatican dans les années trente. Et, au fil des ans, les pénitents viendront se recueillir par milliers devant sa sépulture sur la plage de l’Acqua, n’en déplaise à certains que je ne nommerai pas et qui jadis n’hésitèrent pas à jeter sur le grill ce charmant garçon.

  3. «…ce qui autorise au passage les interprétations les plus farfelues et les plus honteuses comme celle d’aujourd’hui... »
    Juste pour entretenir la flamme :
    Voyons voir :
    Mais de quoi donc le commentaire d’origine était-il constitué ?
    Du seul mot « PLAGIAT » suivi de trois points d’exclamation.
    La question est donc : qu’elle soit farfelue, honteuse ou légitime, y a-t-il eu interprétation de « Plagiat !!! » ?
    Pour y répondre, il suffira d’analyser les deux parties de ce commentaire, séparément d’abord, ensuite en association.
    a) D’abord, en ce qui concerne le mot PLAGIAT, y a-t-il matière à interprétation ? Évidement non. D’ailleurs, la liste des synonymes du mot le montre bien : COPIE, IMITATION, EMPRUNT, CALQUE, CONTREFAÇON, COPIAGE, DECALQUAGE, FALSIFICATION, PILLAGE, USURPATION. Comment interpréter une telle litanie de façon chaleureuse ou même neutre ? Les mots ont un sens et celui-là, contrairement à beaucoup d’autres, n’a rien perdu de sa force. Un plagiat, c’est : « l’acte de copier ou d’utiliser le travail d’une autre personne sans autorisation, reconnaissance ou crédit approprié, le présentant comme son propre travail original. Il s’agit d’une violation éthique grave, souvent considérée comme une forme de vol intellectuel et de fraude... »
    b) Ensuite, trois points d’exclamation, et d’abord un seul.
    Point d’exclamation = signe de ponctuation exprimant une émotion ou une réaction
    Trois points d’exclamation = signe de ponctuation exprimant une très vive émotion ou une très forte réaction.
    c) Enfin, le mot PLAGIAT associé à trois points d’exclamation : on pourrait considérer que l’auteur, constatant ce qu’il considère comme un plagiat (voir définition ci-dessus) éprouve une vive émotion et réagit en publiant le mot que l’on sait suivi de la ponctuation que l’on sait.
    Mais quelle émotion l’auteur peut-il bien ressentir à se voir plagier ?
    Du plaisir ? Surement pas, car dans ce cas il aurait parlé de « référence », de « salut » ou même de « clin d’œil » à son œuvre ou quelque chose du même acabit.
    De l’envie ? Pas davantage, le commentaire du commentaire donnant bien le jugement qu’il porte sur la photo du plagiaire. Or, on ne peut envier quelque chose que l’on qualifie de vulgaire.
    De la colère ? C’est plus probable, et la répétition de la ponctuation le confirme. Mais cette colère n’est pas rentrée comme elle aurait pu l’être, elle s’exprime, haut et fort, avec trois points d’exclamation !!!
    Ce à quoi nous assistons en fait, c’est à une dénonciation, une délation, infondée, mais délation quand même.
    Eh ben, c’est pas joli, joli.

    « ...la démission inacceptable du dit auteur soi-disant déjà fatigué… »
    Si l’on veut bien se reporter à l’article du 25/11/2023 par lequel j’annonçais la réduction du rythme de publication du JdC, on verra qu’à aucun moment je n’ai évoqué l’âge ou la fatigue, mais d’autres raisons que je vous laisse retrouver dans ledit article qui demeure disponible comme tous les articles publiés par le passé dans le JdC.

  4. Halte au feu! (Expression toujours très risquée, celui qui la prononce risque de recevoir des balles plus ou moins perdues). Tableau avec contemplateurs de dos? Zut alors! C’est pas un tableau, c’est un drapeau d’une république fantoche sud-américaine que moi j’ai vu dans ce visuel avec l’arrivée d’el president pour sa conférence de presse du matin.

  5. Le commentateur paranoïaque signale à l’auteur susceptible comme une jeune vierge effarouchée que jamais au grand jamais il ne s’est considéré comme le propriétaire d’un style de photos qu’il a néanmoins porté au pinacle mais qu’il tente de relancer avec toute la sincérité de sa naïve reconnaissance et par n’importe quel moyen, y compris les plus maladroits ce qui autorise au passage les interprétations les plus farfelues et les plus honteuses comme celle d’aujourd’hui, des échanges de commentaires qui se font de plus en rares sur cet éminent blog désertifié par la démission inacceptable du dit auteur soi-disant déjà fatigué malgré son âge ridicule (son âge, pas lui) qui n’a rien trouvé de plus reposant que de substituer à des textes littéraires exceptionnels par leur qualité, leur humour et même leur humilité (sic) de vulgaires images d’œuvres picturales livrées en pâture dans les musées populaires subventionnés à des visiteurs syndiqués, hagards et béats que n’importe quel commentateur paranoïaque comme lui est capable de réaliser par milliers.

  6. Je ne suis pas sûr de comprendre où se situe le plagiat allégué, mais si, dans l’esprit paranoïaque du commentateur, il consiste en la prise d’une photo d’un tableau avec un personnage de dos en premier plan, je me permettrai de rappeler à la noble assistance :
    a) que si le commentateur énervé s’est fait une spécialité de ce type de photographie, il n’en dispose pas pour autant de l’exclusivité
    b) que j’ai personnellement (moi-même) photographié en 1999 au MoMa de San Francisco un autoportrait de Joseph Beuys comportant un camouflage en surimpression avec au premier plan un jeune visiteur portant un blouson aux mêmes couleurs (photo publiée dans le JdC le 14/01/2017) et, par erreur de ma part, attribué à Andy Warhol.
    c) que la photo intitulée Good Vibrations représente un grand nombre de visiteurs, alors que la spécialité, par ailleurs appréciée, du commentateur consiste à saisir une similitude la plus grande possible entre le tableau contemplé et le contemplateur vu de dos.
    d) qu’il ne s’agit ni d’un plagiat ni d’un pastiche ni même d’une parodie, mais d’un instantané tout ce qu’il y a de spontané cherchant à conserver pour la restituer l’ambiance contemplative et même recueillie que l’on constate parfois dans certains musées en des instants privilégiés

    Mais après tout, il ne s’agit peut-être pas de cela du tout. Va savoir…

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