Deuxième lancement

Il y a exactement un mois sortait chez Amazon.fr mon dernier livre « Les trois premières fois et autres nouvelles optimistes »
Bon d’accord. Le lancement a été totalement raté. Trois exemplaires vendus en un mois — dont un à moi-même pour faire un cadeau — c’est un flop cruel et humiliant.
Mais ce n’est pas ça qui m’empêchera de lancer Les Trois premières fois une deuxième fois.

Alors voilà : Les trois premières fois et autres nouvelles optimistes, au cas où vous ne l’auriez pas compris, c’est un recueil de nouvelles optimistes, plutôt roses, enfin pas rose bonbon quand même, mais pas méchantes, pas comme celles du recueil précédent « Histoire de Noël et autres contes cruels » ou acides comme « Blind dinner »

« Les trois premières fois etc… » c’est d’abord « Les trois premières fois », une nouvelle en trois parties. La première des trois premières fois, c’est Franz Bauer qui raconte une première fois dans un refuge des Alpes autrichiennes. C’est une nouvelle d’initiation, écrite je l’espère dans le style de Thomas Mann ou de Joseph Conrad. Dans la deuxième des trois premières fois, carrément pastiche de P.G. Wodehouse, Bertram Fitzwarren, digne produit de l’Eton College, raconte une expérience très instructive vécue dans le quartier rouge d’Amsterdam. La dernière des trois premières, au style plus personnel, est moins légère, mais pas sombre pour autant.

 Les autres nouvelles du recueil parlent de tas de choses charmantes, instructives ou haletantes :

Charmantes : La lucarne, une petite fenêtre sur l’Acropole, Monsieur Minette, un paysan solitaire, Le téléski des Merles, un moment calme à Tignes, Mexican Hat, une falaise en Utah, Sari, une chienne sourde, Un jour sans fin, une rencontre définitive, Les choses de la vie, seulement les bonnes…

Instructives : Les fleurs jaunes, la façon de porter des fleurs sans avoir l’air idiot, Guillaume n’aime pas l’avion, comment lutter contre la peur de voler…

Haletantes : Incident de frontière, le passage de Syrie au Liban par temps de crise, Wetbacks, la vie d’un mexicain sans-papiers à Los Angeles, et Points de vue, une demi-douzaine de façon de voir différemment le même évènement.

Tout ça est très chouette, vous verrez…

Mais pour ça, il faudrait cliquer sur la photo de la couverture :

Cliquer sur l’image

 

Et si ce deuxième lancement n’est pas suffisant, si les ventes ne décollent pas, si les avis de lecteur continuent à ne pas être exprimés, dites-vous bien que vous allez subir une campagne de matraquage comme on n’en avait jamais vue dans le Journal des Coutheillas. Non mais sans blague. 

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