The brutalist
Heureusement que je ne fais plus de Critique aisée, sans ça j’aurais été obligé d’écrire sur Le Brutaliste, le film multi-récompensé, et de vous dire que je l’avais trouvé plutôt long, plutôt glauque et plutôt ennuyeux. Bon… je n’y allais pas pour m’amuser, ni pour voir un feel good movie, mais je m’attendais à quelque chose de plus orienté sur l’architecture, sujet plus que rare au cinéma. Brutaliste, je ne connaissais pas le mot ; c’est le film qui m’a appris et le mot et sa signification. Il eut été intéressant d’exposer, à travers la biographie de cet architecte fictif, les principes de cette architecture, ses difficultés à être acceptée, ses réalisations, etc… Mais, on ne nous montre finalement que le caractère impossible de l’architecte-artiste à travers le jeu monotone d’Adrian Brody. Bon, me voilà reparti à faire de la Critique aisée. Il faut donc que j’arrête là, car il faut bien que je garde du temps pour m’occuper du Président des États Unis.
Gonflé, le mec !
Depuis qu’il a pu faire ses preuves lors de ses diverses fonctions ministérielles, j’ai toujours considéré Dominique de Villepin comme une arrogante baudruche, c’est à dire un volume artificiellement gonflé et plein de lui-même, c’est à dire de vent.
Cet homme a eu la chance d’être né dans la haute bourgeoisie, d’avoir une belle gueule, une silhouette avantageuse, et grâce à cela d’avoir impressionné l’homme du peuple qu’était Chirac, ce qui lui a valu d’avoir à prononcer un beau discours Continuer la lecture de Le brutaliste, la baudruche et le certain universel