Dans le monde de l’édition (19)

Bon ! Dans le monde de l’édition, rien ne va plus ! Les ventes stagnent ! Elles n’ont pas bougé depuis le 6 août dernier. En particulier, le compteur d’Histoire de Dashiell Stiller est mystérieusement bloqué à 10. Dix exemplaires vendus en quatre semaines ! Il va falloir que je réactive une sérieuse campagne d’incitation. Vous n’y échapperez pas. J’attends de chacun qu’il fasse son devoir.
Mais le pire n’est pas le niveau ridicule atteint par les ventes d’HDS, c’est celui du nombre des avis sur Amazon : 0(1)

Allez, un bon mouvement ! Dites quelque chose ! N’importe quoi, mais dites quelque chose !

Note (1) : Cette complainte a été écrite et programmée avant le délectable commentaire fait hier par Jim sur le JdC et annonçant le dépôt d’un avis sur Amazon, lequel ne saurait tarder à paraitre. 

Rappel : au 15/08/2023 
Blind dinner :41 exemplaires – 9 avis
La Mitro : 14 exemplaires – 3 avis 
Histoire de Dashiell Stiller : 10 – 1 avis à venir
Total : 65 exemplaires – 13 avis

Pour info : Ci dessous, mon bureau provisoire dans le Perche : 

 

5 réflexions sur « Dans le monde de l’édition (19) »

  1. Une proche me confirme qu’effectivement, la poissonnière à notre marché local fait cela pour éloigner les guêpes voraces amatrices des poissons sur l’étal et ça marche. Par contre, cela n’empêche pas les mouettes ou goélands les plus audacieux de tenter leur chance.

  2. Soyons sérieux : ceci est une réserve de marc de café en cours de séchage. Une fois séché, quand on y met le feu, il dégage une fumée qui chasse les guêpes amatrice de melon au jambon. Si on a pas de marc, on peut aussi utiliser du café moulu pour le même usage. Attention, la combustion est lente, mais dégage une très forte chaleur qui fait claquer les récipients fragiles.

  3. Ah, bon! Je préfère ça, c’est pas un plat vegan et c’est tant mieux.

  4. La substance brune qui intrigue l’observateur attentif et opiniâtre de cette photo bucolico-appleienne est un plat régional, mais pas de la région du Perche.
    C’est en fait un produit traditionnel d’une région reculée du Tadjikistan sub-oriental, qui selon les usages locaux se déguste entre amis uniquement le mercredi à l’heure du gouter autour d’une table ronde. Personne ne sait pourquoi la table doit etre ronde, mais c’est essentiel. Cette poudre brune, qui doit se servir humide mais pas gluante, sinon c’est une insulte faite aux invités, a pour nom Mhlourrihyéh. A base de foie de chèvre séché, de plumes de paon rapées et de ketchup périmé, le Mhlourrihyéh se déguste accompagné d’un air de viole à trois becs ou d’une pinte de lait de hérisson.
    Tous les grands voyageurs ont un jour ou l’autre gouté au Mhlourrihyéh et en ont gardé un souvenir impérissable.
    Marco Polo a dit : « Quand on a mangé une fois du Mhlourrihyéh, on en a mangé une fois »
    Magellan : « Le Mhlourrihyéh, c’est comme le Kloug, en moins raffiné »
    Mais c’est Sylvain Tesson qui l’a le mieux défini « Manger du Mhlourrihyéh, c’est un peu comme manger un mélange de sable de mer et de rouille de locomotive touillé dans de l’huile de vidange de baleine. Oui, je sais ; mais qu’on a que ça sous la main…»

  5. Ce bureau dans le Perche, je comprends bien que le décor rural, les vaches, tout ça inspire, mais, non d’une pipe, qu’est ce qu’il y a dans la gamelle à droite de l’ordi? Drôle de pitance!

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