Une critique des Trois premières fois

Avec son nouveau recueil de nouvelles, « Les trois premières fois« , Coutheillas atteint des hauteurs insoupçonnées. On est au comble, et même aux combles : le comble du ridicule avec cette deuxième première fois qu’est la nuit d’Amsterdam, le comble des clichés humanistes avec les Points de vue, le comble de la sensiblerie avec les Wetbacks de Los Angeles,  le comble du maniérisme avec cette foutue Lucarne, le comble de l’absurde avec ce Jour sans fin et le comble de la mièvrerie avec Sari…
Les trois premières fois, c’est un ramassis gnan-gnan d’histoires farcies de mièvrerie, recouvertes de beurre de cacahouètes et garnies de guimauve à la pistache. Carrément écœurant…
Et en plus, c’est trop court !

Bételgeuse 

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Une réflexion sur « Une critique des Trois premières fois »

  1. Tiens tiens , nouvelle tactique : on fait parler son avatar…
    La campagne publicitaire change de style: auto dérision , auto dénigrement…
    Bien joué mais comment réagir sans se sentir flagorneur…
    L’auteur a viré son agent littéraire et dégaine son atout majeur: l’ironie…

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