Le lac

Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges
Jeter l’ancre un seul jour ?

Lac du Bourget

Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s’asseoir !

2 réflexions sur « Le lac »

  1. Je reprends mon commentaire déjà publié car les beaux vers du Lac de Lamartine ne méritent aucune imperfection. Et pan, sur mon bec! Et puis merde pour ce ChatGPT qui s’est permis de remplacer beaux par baux car il ne connaît que le langage froid et terne des notaires (un bail, des baux) et pas celui de la beauté et de la poésie. Donc:

    « Ô temps! Suspends ton vol, et vous, heures propices!
    Suspendez votre cours:
    Laissez-nous savourer les rapides délices
    Des plus beaux de nos jours!

  2. Oh temps! suspends ton vol et vous heures propices
    Suspendez votre cours
    Laissez-nous savourez les rapides délices
    Des plus baux de nos jours!

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