15 réflexions sur « Vos gueules, les mouettes ! (5) »

  1. @Lorenzo. Mon psy? Mais je n’ai plus de psy depuis que le dernier s’est suicidé après que je lui ai dit que je ne pouvais plus rien pour lui. Le pauvre homme! Il souffrait d’une gastéropodie aigüe. Son cas était désespéré.

  2. @Jim. Et il en pense quoi de tes interprétations, ton psychanalyste ?

  3. Incohérence, oui pourquoi pas. Censure, j’espère bien que non. Interpellation, bien sûr, surtout quand les pages et les commentaires s’entremêlent pour recomposer une histoire. Comment ne pas revoir les symboles dans cette photo, celle de jolies mouettes blanches, virginales, rieuses, copines, après avoir lu les premiers épisodes de l’histoire de Lorenzo et les réactions des commentateurs? La mouette qui rejoint en urgence ses copines au Surcouf serait-elle Annick? Non, le physique ne correspond pas. Ne serait-ce pas plutôt la jeune et belle Françoise, en détresse, traumatisée depuis sa jeunesse par la vue d’un gastéropode, qui retourne vers Annick dans l’espoir de retrouver à la terrasse du Surcouf l’écrivain Blonde que l’on voit sous les traits d’un canard bigarré, probablement boiteux s’il sortait de l’eau, esseulé et sans inspiration devant sa table de bistro? Ça pourrait être ça! Et les corneilles alors, les autres volatiles de l’histoire, noirs cette fois, aussi noirs que Louis Armstrong, que font-ils dans tout ça? Et bien ils sont perchés et observent de loin la scène en baillant pour cacher leur impatience de connaître la suite de cette histoire.

  4. @ Jim. Il y a bien l’anthropophagie et la gourmandise mais aussi une troisième éventualité que la censure m’interdit d’évoquer.

  5. Le JdC rappelle que la page de 16h47 est ouverte. Cela signifie qu’elle est libre et qu’on y publie ce qu’on veut, enfin presque. L’incohérence qu’on peut y rencontrer est parfois regrettable, mais elle n’entraine pas nécessairement la censure.

  6. Moi je vois ce matin une confusion des genres entre entre mouettes et corneilles. C’est à n’y rien comprendre!

  7. @Lorenzo. Guérison de quel penchant inconscient pour Edgard? L’anthropophagie ou la gourmandise, ou les deux? Un anthropophage peut être gourmand, c’est même généralement le cas.

  8. @Edgar ; si tu n’es pas ingénieur, il y a un espoir de guérison.

  9. Edgard n’est pas ingénieur, lui non plus, le pauvre…

  10. Il n’y a que les ingénieurs pour appeler cela de l’anthropophagie

  11. Ton commentaire me flatte, mais, ce qui me gêne, c’est l’emploi du mot gourmandise pour exprimer ton impatience à connaitre la suite de cette mise en bouche.

  12. C’est le jour des oiseaux: on va laisser les mouettes du matin à leur ballet aquatique et attendre avec impatience , le deuxième passages des corneilles : les habitants de Joigny sont outrés, mais nous lecteurs , attendons avec gourmandise, de retrouver Francoise Maignan: comment va t’elle surmonter le choc de sa recontre fortuite avec l’escargot de Bernard?

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