Une amie d’Anne portait ce nom de jeune fille effronté qui lui avait valu dans les années 60 un diminutif flatteur : Catherine Pop’. Sa sœur avait épousé Yves de la Poëze, un noble breton très sympathique et ami d’enfance de Jacques de Bascher. Son nom recomposé de femme mariée, Populaire de la Poëze, m’a toujours semblé provocateur mais je n’ai jamais su dans quel sens.

Signification et origine du nom : Populaire est un nom artois, représentant la forme francisée du nom flamand popeler, désignant le peuplier, arbre caractéristique de la propriétaire.

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J’ai découvert tardivement le jazz après que la musique classique et surtout la musique de chambre aient envahi ma vie. Un des premiers morceaux qui me séduisit fut Time Out de Dave Brubeck avec le fabuleux saxophoniste Paul Desmond.

Time Out est un album de Dave Brubeck sorti en 1959. L’album se veut, et réussit, une expérimentation de signatures rythmiques inhabituelles dans le jazz. Malgré les réticences de la maison de disques et les critiques négatives à sa sortie, Time Out est devenu l’un des albums les plus connus et les plus vendus dans l’histoire du jazz.

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 Il y a bien longtemps en revenant d’Italie, nous étions passés à Saint Pourçain et j’en gardais un bon souvenir. Comble pour une appellation contrôlée, il y a maintenant à son entrée un embouteillage invraisemblable de camions comme j’ai pu le constater cet été.

Le vignoble de Saint-Pourçain serait plus ancien que ceux plantés par les Romains. Saint Louisfaisait servir à sa table royale ce vin précédé d’une flatteuse réputation. Les papes en Avignon n’étaient pas en reste : malgré un coût de transport prohibitif, on leur en expédiait 60 à 120 hectolitres chaque année. La construction du canal de Briare a rendu plus rapide le trajet vers la capitale. Le vignoble atteint à la fin du XVIII ème siècle plus de 8 000 hectares. Mais c’est aussi à cette époque que les meilleurs crus du vignoble saint-pourcinois vont être concurrencés par ceux de Bourgogne. On reproche alors aux vins rouges ordinaires d’être teints, de manquer de consistance et de corps et d’être trop chers. Parfois on soupçonne même des additions d’eau (les bateliers durant le transport remplaçant ainsi discrètement ce qu’ils avaient illégalement consommé, Pierre Mondanel (in L’ancienne batellerie de l’Allier et de la Dore, 2001).

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L’ambassadeur d’Ouzbékistan était notre ami et voisin à l’île de Ré. Tous les matins entre dix et onze heures, sans un manque, il prenait son traditionnel café sur le port à la terrasse du Saint Georges. C’était une manie plus ambigüe qu’obsessionnelle car il s’installait toujours au premier rang et il était toujours bronzé, même au mois d’octobre …

Plutôt qu’une description géographique ennuyeuse de Wikipédia, je préfère citer cette remarque ironique et quelque peu envieuse de mon ami Richard : Pas étonnant qu’il ait été nommé Ambassadeur d’Où-je-baise-qui-se-tend.

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Comme on pouvait s’y attendre, Gilbert Mitterrand, le fils de François, était gaucher. Tous les jeudis après-midi dans l’équipe de foot du lycée sur des terrains improbables, il jouait donc à gauche mais, contrairement à son père, toujours à l’arrière. Il nous obligea à coller sur les sièges des trains de banlieue des étiquettes publicitaires incitant à voter pour son papa en 1965. Agés de quatorze ans à cette époque, nous n’avions aucune conscience politique et lui non plus, d’ailleurs.

Certes, le chef de l’Etat n’a pas grand chose à voir avec ces affaires (caisses noires, déficits masqués, corruption) mais lors de son second mandat, il a tout de même soutenu Bernard Tapie contre vents et marées, probablement pour d’autres raisons que sportives, et de fait l’ancien président de la République ne facilita pas la mise à jour de la vérité dans ce scandale de matchs achetés par l’OM. Il se permettra même lui, le chef de l’exécutif, de tenter d’influer en sermonnant le procureur de la République chargé de l’instruction de l’enquête Eric de Montgolfier, prenant clairement la défense de Tapie dans l’affaire OM-VA au cœur de l’été 1993. Aujourd’hui, à la lueur des faits et des aveux des parties, on voit bien que ce procureur avait raison et prouvé que Tapie était un tricheur. L’affaire se finira derrière les barreaux pour Bernès et lui.

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La Reine Margot est un film de Patrice Chéreau avec Isabelle Adjani dans le rôle-titre. Il raconte une période terrible de l’Histoire de France : les guerres de religion, le massacre de la Saint Barthélemy et l’accession au trône inespérée d’Henri IV. Ce film, dont le scénario était d’une fiabilité discutable, m’avait surtout donné envie de lire le roman d’Alexandre Dumas. Je suis immédiatement tombé amoureux d’elle (Margot, pas Adjani).

La reine Marguerite de Valois était surnommée La Reine Margot, un surnom popularisé notamment grâce à la pièce de théâtre éponyme et au roman éponyme d’Alexandre Dumas au XIX^e siècle. Puis la forme Margaux a été popularisée de manière plus récente, d’après le grand vin du même nom : le Château Margaux, dont le second élément Margaux est lui-même une variante de Margot. Ernest Hemingway, grand amateur de Château Margaux, compte parmi les premiers à avoir prénommé sa petite-fille Margaux, sous cette forme orthographique. (J’en entends déjà certains qui gloussent en avançant que la boucle est bel et bien bouclée).

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La Belle Etoile me rappelle un album de Tintin et Milou, l’Etoile Mystérieuse, qui me terrorisait quand j’étais enfant. C’est la seule de leurs aventures qui ne m’a jamais donné envie de me rendre là où elle se passait.

La Belle Etoile est un  hébergement insolite qui vous invite à vivre une expérience unique pour une nuit ou un week-end grâce à son plafond transparent proche du Parc du Puy du Fou. En plus de s’endormir sous les étoiles, cet hébergement insolite vous offre tout le confort d’une chambre d’hôtel.

Lorenzo dell’Acqua