Dans le monde de l’édition (3)

Bon ! Y a un truc qui va pas, là. Regardez-moi un peu ce graphique des commandes cumulées de Blind dinner. De quoi il a l’air, ce graphique, hein ?

Surement pas du skyline de Manhattan, oui ! On dirait plutôt le forum romain avec ses colonnes pas finies.
Un démarrage presque sur les chapeaux de roues et puis, la stagnation, l’horizontale, le marasme, la contrariété. 

Heureusement pour l’ego de l’auteur, Jim a fourni l’explication de ces ventes décevantes : il y a eu détournement de trafic vers un ouvrage allemand portant le même titre, Blind dinner.
Pour s’en convaincre, il suffit de regarder la page Amazon consacrée à Blind dinner. 

Non, l’exemplaire de droite n’est pas la traduction de mon épopée mondaine et confinée ! C’est un vulgaire porno ! Je reconnais que sa couverture est attrayante, mais que du même fait, il n’y peut y avoir tromperie sur la marchandise ! En plus avec le prix qu’il coute ! Donc, si vous vous êtes trompé, c’est que vous l’avez fait exprès. 

Bon ! Il va falloir revenir aux choses sérieuses.

 

Une réflexion sur « Dans le monde de l’édition (3) »

  1. Vends le à 20€ et traduis le en anglais… C’est déjà fait pour le titre!
    De plus, être vendu, n’équivaut pas à être lu… Je n’ai pas encore lu les 2/3 des ouvrages qui constituent ma bibliothèque (il est vrai qu’il y en a certains que j’ai lu, relu et annotés et ré-annotés plus d’une dizaine de fois…) mais ils me servaient de renforts dans l’élaboration de mes discours ex-cathedra, mon gagne pain!
    Par contre, les livres que l’on a achetés et pas encore lus constituent, si on désire sérieusement les lire, une merveilleuse assurance sur la vie… j’ai calculé que j’en avais pour jusqu’à 125 ans. Donc, restes en vie, tu auras une avalanche de commentaires dans 25-30 ans!
    Un kiscroiphilosophe

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