Rendez-vous à cinq heures à Chicago

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Have à Bud !
with Guy
in Chicago

Ah oui, une Budweiser pour se congratuler, c’est génial !

Ce monsieur épanoui sur une affiche publicitaire de 1993 collée sur le mur d’un restaurant de Chicago, symbolisait pour moi  cette ville animée et variée entre le lac Michigan et le Centre des Affaires, en passant par son anachronique Métro aérien – le Loop – des années 1900 avec ses quais en bois et son vacarme assourdissant qui me faisaient penser à un Al Capone en fuite.

Aussi le Grant Park pour pique-niques et concerts de jazz, la Sears Tower, le plus grand gratte-ciel au monde à l’époque, vue imprenable assurée en haut, sans oublier cette floppée de ponts levants sur la rivière qui relie le lac aux minoteries que je pouvais admirer du haut du Wrigley Building, oui celui des chewing-gums, où je bossais.

Si vous allez aux EUA, ne ratez pas Chicago !

 

3 réflexions sur « Rendez-vous à cinq heures à Chicago »

  1. Et Sinatra chantait:
    Chicago is my kind of town
    Chicago is my kind of raz-ma-taz
    Et je suis bien d’accord avec ça.

  2. Effectivement, ce qui frappe un ex-parisien, satisfait du centralisme français puisqu’il a accompli avec succès les 25 premières années de sa vie dans la capitale nationale, c’est la multipolarité de ‘la première puissance du monde’ (à en croire les Américains unanimes!). Certes, le Français, débarquant à New York, y retrouve un peu le modèle parisien, mais pour la plupart des Américains, le centralisme à la française est une séquelle du sous développement des vieux pays. Centralisme qu’ils ont imposé à leurs colonies, les maintenant ainsi à tout jamais dans le sous-développement. Aux États-Unis d’Amérique, des villes attractives, pour toutes sortes de raisons, on en trouve dans tous les coins du pays, presque une par État. Parfois plusieurs dans le même État! San Francisco et L.A. en Californie, Huston et Dallas in ‘The Big Country,’ Seattle, Détroit, Boston et ses grandes Écoles/Université dans le Massachusetts, Philadelphie, Washington, Atlanta, New Orleans et, évidemment, Chicago à l’entrée du MidWest! Et si l’on suit les nouvelles américaines, il arrive parfois que Toronto, métropole et capitale de l’Ontario, soit considérée comme une ville typiquement américaine. Trop souvent, les modèles qui nous sont proches sont, par erreur typiquement humaine, projetés sur le reste du monde!

  3. « A nice little town », comme me disait un ami new-yorkais.

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