3 réflexions sur « Tableau 436 »

  1. Ah joli «  à la recherche éperdue du temps »…
    On attend , on a tout son temps , il faut juste prendre des notes pour ne pas remonter trop le temps dans le JDC…

  2. @Lariégeoise. N’en déplaise à Lariégeoise, il ne s’agit pas d’une nouvelle érotique comme on a trop souvent l’habitude d’en lire dans le JdC mais d’un roman fleuve, un roman Amazone, comme dirait notre rédacteur en chef bien-aimé. Si tu es impatiente de découvrir la vie sexuelle de Françoise (pardonne-moi mais je ne savais pas que toi aussi tu étais psychanalyste) je te conseille d’aller directement à la page 732. Je préfère te prévenir d’emblée, elle est torride et va faire bien plus de gorges chaudes que Histoire d’ORL. Pour le titre, j’hésite encore entre les Corneilles … et A la Recherche Éperdue du Temps qui me semble beaucoup plus proche de l’auteur dont la lenteur m’a inspiré.

  3. Moi je persiste et signe : même si les Corneilles volent en croassant sur les têtes des pères castrateurs ou des psychanalystes abscons, je voudrais bien découvrir le sort des dames jolies ou non dont Lorenzo entrecroise les destins avec une machiavélique lenteur … d’escargot.

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