N’importe quoi ! (2)

temps de lecture : 30 secondes 

Si tu dois suer cent et haut pour aller chercher à Londres des jeunes filles en fleurs, n’oublie pas de prendre ton Passe d’Or, ta Carte d’Immensité, ton Vernis de Conduire et ta Tarte Vitale. Avant de partir, et pour ne pas passer là-bas pour un vrai brouillon de culture, fais-toi faire une coupe de chevaux du côté de Besançon. Mais, si tu crains toujours d’être le dindon de la face, dans le Doubs, abstiens toi. Téléphone plutôt à ta cousine, et envoie lui ta blague de fiançailles car ce serait un abus de conscience que de ne pas joindre Lucille à l’agréable… et Lycée de Versailles.

 

 

2 réflexions sur « N’importe quoi ! (2) »

  1. Match nul ….leger avantage cependant à Lorenzo car avoir truffé son texte de tous ces photographes… P tu nous fais le même avec tes films favoris?
    Mais ça devient le cercle des surréalistes ici ; on va devoir faire des bouts rimés bientôt

  2. Dans le même genre, voici la biographie du photographe Lorenzo dell’Acqua :
    Lorenzo dell’Acqua est né à Paris dans les beaux cartier bresson mais il ne resta pas longtemps izis et mit les boubat sans demander depardon. Il partit en arbus vers le sudek et fila ensuite plein weston. Ce n’était pas un nadar : il était très en evans pour son atget. Capable d’illustrer sans penn n’importe quel’artigue pour quelques niepce de un franck, il attendit celui qui l’auray transporté au septième sieff. Amoureux de la mer, ce n’était pas un salgado et il se l’avedon souvent. Il passa le plus clergue de son temps sans faire de koudelka et vécut sanderanger personne mais pas comme un erwitt ! Avec lui, on riboudcoup et on lui doisneau plus belles photos de famille. Ironis du sort ou simple klein d’oeil, il embrassaï une toute autre carrière.

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