Petites pensées pour moi-même

Les feuilles mortes se ramassent à la pelle…
Non, mais franchement ! Vous avez déjà essayé de ramasser de feuilles mortes avec une pelle, vous ?
Les poètes, c’est vraiment pas des gens comme nous.

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The greatest Jazz Concert in the World,  enregistrement public au Carnegie Hall de New York en 1967, Duke Ellington, Ella Fitzgerald, Oscar Peterson, Coleman Hawkins…
Pourquoi le solo de clarinette de Russell Procope dans Swamp Goo me met-il toujours les larmes aux yeux ? 

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Chaque année, il y a de plus

en plus de cons ! Mais cette année, j’ai l’impression que ceux de l’année prochaine sont déjà là !
Je ne sais pas pourquoi, mais j’aime bien cet aphorisme de Patrick Timsitt. 

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Pierre Desproges me manque de plus en plus. Mais François Hollande, non. 

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Les Fake news et les Théories complotistes ont remplacé les Brèves de comptoir. C’est le progrès. 

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Parfois, l’envie me prend d’écrire une encyclopédie des addendas, codicilles, post-scriptum et notes de bas de page. Et puis ça passe.

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Le Clair de Lune de Claude Debussy, c’est la dernière musique que j’aimerais entendre.

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C’est tout pour aujourd’hui. 

 

3 réflexions sur « Petites pensées pour moi-même »

  1. Hey Paddy, ta liste est vraiment incomplète et même pauvre! C’est sûr que le « Clair de Lune » de Debussy tient le haut du pavé avec Beethoven et Glenn Miller pourquoi pas. Mais la Lune a aussi inspiré beaucoup d’autres compositeurs classiques, par exemple pour ne parler que des français, Gabriel Fauré et son Clair de Lune inspiré comme Debussy par un poème de Verlaine (les fêtes galantes), Jules Massenet et un passage de son opéra fétiche Werther. Et dans un tout autre genre plus près de nous, Le Soleil à Rendez-vous avec la Lune de Charles Trenet, Fly me to the Moon de Sinatra, Dark Side of the Moon des Pink Floyd’s, Bad Moon Rising de Creedence Clearwater Revival, l’album fétiche des GIs au Vietnam en 1969, tous ces derniers pas faits pour se laisser bercer. Pas de doute, la Lune inspire à la mettre en musique.

  2. HAaaaa! Le Clair de Lune de Claude Debussy, une sérénade qui berce, qui endort, oui mais à condition de se réveiller ensuite pour la réécouter à nouveau. Et que dire de la sonate éponyme de Beethoven (la N° 14), elle aussi on aime l’écouter et la réécouter. Et puis, que dire de Moonlight Serenade de Glenn Miller pour danser et redanser un slow avec elles (la serenade et celle que l’on tient dans ses bras). Vive la lune et les lunatiques!

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