Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
C’est marrant cette question que je ne me suis jamais posé. La réponse de Proust est pleine de bon sens et elle me convient plutôt bien.
Ou alors, dans la même veine, la version de Benjamin Rathery, le personnage que joue Brel dans ce film fabuleux qu’est Mon Oncle Benjamin:
Le coeur appuyé sur les amis de toujours
Mourir pour mourir
Je veux mourir de tendresse
Car mourir d’amour ce n’est mourir qu’à moitié
Je veux mourir ma vie avant qu’elle ne soit vieille
Entre le cul des filles et le cul des bouteilles.
Pour moi, c’est dans une cave où il y a du bon vin,
Les deux pieds contre la muraille
Et la bouche sous le robinet
Oui oui oui, oh oui oui…
Tralala, tralala…
Ah, être ou ne pas naître, telle est la question!
Pour ne pas se poser cette question et ne pas avoir à la contourner par un mot d’esprit douteux (douteux s’appliquant autant au mot qu’à l’esprit!): N’être pas!
Il y a donc au moins un point commun entre le petit Marcel et l’anti-héros d’Herman Melville, Bartleby qui, à toute sollicitation, demande ou ordre, répondait :
« I would prefer not to » « Je préférerais ne pas »
(En passant, j’avoue que je n’ai jamais compris l’intérêt de cette nouvelle de Melville.)
Une autre vision de la mort… A mon dernier repas, du Grand Jacques.
Qu’est-il de plus beau?
https://www.youtube.com/watch?v=4dfDCMLnQqA&list=RD4dfDCMLnQqA#t=0