Dernière heure : Sans commentaire

Dernière heure : Sans commentaire
Lundi 19 fevrier

A ce jour, le JdC a enregistré 3390 commentaires. Le nombre total d’articles publiés depuis l’origine (25 novembre 2013) étant de 1547, cela fait une moyenne de 2,19 commentaires par article. C’est peu. Ça mérite à peine un pluriel.

Bien sûr, il y des commentateurs réguliers et abondants, les Pat-Sue, les Jim, les Paddy, les René-Jean (aujourd’hui retiré des voitures), les Rebecca, Angela… les plus rares, les François, les Gilbert, voire les très rares, comme Mdb. Il y a aussi les nouveaux venus, les Frémont et Avistodenas, qui semblent entamer une belle carrière.

Mais les autres ? Quid des autres ? Le JdC est lu chaque jour par des lecteurs dont le nombre varie entre 30 et 50. Alors, où sont les 20 à 40 qui manquent au courrier ?

Pour ceux-là, je rappelle que les commentaires sont non seulement gratuits mais également bienvenus, donc souhaités.
Bien que soumis à ce que les habitués des blogs appellent une « modération », les commentaires sont publiés tels que je les reçois, ils ne sont ni censurés, ni modifiés, ni corrigés (même des fautes d’orthographe, sauf si on en fait la demande).

Enfin, et maintenant je m’adresse à tous, commentateurs zélés ou lecteurs somnolents :
si un article vous a plu, il vous est loisible et même recommandé, sans toutefois que cela ne soit encore obligatoire, de partager ledit article avec vos amis ou même avec le public de Facebook. Pour cela, il vous suffit de cliquer sur le petit bouton bleu f partager qui se trouve sous chaque parution.

 

ET DEMAIN, S’INDIGNER ? POURQUOI FAIRE ?

3 réflexions sur « Dernière heure : Sans commentaire »

  1. Après la série sur les belles boutiques, Philippe se pique de faire le chaland!

  2. le blog est simple, amical, sans prétention, et régulier, j’y passe chaque matin pour une nouvelle fraîche comme on passe prendre son petit noir.
    Bon, ça va… Je voulais dire café noir. Quoi, ça aussi c’est interdit…?

  3. Message reçu.
    Ton blog est superbe, un espace lumineux dans nos ténèbres scientifiques (ou pseudo).

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