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Mortifié.
Faute corrigée.
Faute corrigée est à moitié pardonnée.
A moitié seulement.
Ha ha ha! La cadémie veille et elle a encore frappé. C’est bien, c’est son rôle. Rebe, voir mes commentaires ajoutés tardivement au dernier « de la bouche du cheval » n° 5.
Bonjour Henriette et… mais lui ne nous a pas été présenté. Dommage! J’ai eu l’occasion de l’écrire ici déjà, moi je les aime bien. Ils me rappellent des années d’enfance à jouer aux billes à leur côté. Le triangle, la poursuite, le sac avec ses agathes, ses billes en verre (valeur moindre) et ses calos. Et surtout, avec un peu de cran et d’agilité, on pouvait grimper dans l’un des marronniers situés à gauche du bassin en sautant du bord de celui-ci pour attraper la première branche. Le défi n’était pas l’acrobatie nécessaire pour y arriver mais d’échapper à la vigilance du gardien en uniforme, à qui comme, il se devait, il manquait un bras et qui avait un sifflet perçant greffé à ses lèvres dont il usait abondamment. Il était sacrément malin le bougre et avec lui pas question de rigoler. On en fabrique plus des comme ça! C’étaient des modèles 14-18 pour les plus vieux et les plus hargneux, ou 39-40 pour les plus jeune. Les quatre marronniers à droite du bassin ont été abattus depuis et remplacés par quatre autres qui mettrons encore quelques années à grandir. Quant à Henriette, il m’est arrivé de la chevauchée quand le bassin était vide (coup de sifflet obligatoire). A l’époque, elle ne m’a pas parue si conne que çà! Souvenirs, souvenirs!
J’ai quelques idées sur la question, la première étant que, sans doute, la plus noble conquête te reprocherait l’apostrophe oubliée à « qu’elle ».