4 réflexions sur « Esprit d’escalier n°7 »

  1. Merci Rebecca. Comme tu as pu le voir, c’est mon 7eme Esprit d’escalier. Si tu as raté les autres, tu dois pouvoir les retrouver sur le JdC (case recherche)

  2. Très distinguée, comme ça, en noir et blanc.
    J’ai toujours beaucoup aimé les escaliers. Il en est de somptueux, comme celui de l’opéra Garnier, et de splendides dans leur sobriété, comme celui-ci.
    Dernièrement, j’ai visité l’atelier de Gustave Moreau, où se trouve un escalier considéré comme l’un des plus beaux de Paris, un hélicoïdal en bois et métal élégant et pur.

  3. On pourrait même le descendre en dansant. Et même mieux : le remonter. Pas facile avec une échelle meunière. Quoique. J’aime bien quoiquer.
    Superbe dans sa sobriété, il ne masque pas la verrière. Aurait plus manqué que ça. On reste néanmoins surpris qu’il n’ait pas subi d’attaque de jaunisse. Ne désespérons pas du populisme populacier.

  4. Les escaliers sont pleins d’esprit et de distinction. Celui-ci est un magnifique escalier hélicoïdal en colimaçon, majestueux, à ne pas confondre avec un escalier à vis à noyau central. Dans mon imaginaire, un escalier en colimaçon doit se descendre lentement (a-t-on déjà vu un escargot se presser?), majestueusement, pour se faire admirer de ceux en bas, il est fait pour montrer l’opulence de son propriétaire, la taille de sa maison. On ne le monte pas, le lift ou l’escalator cachés dans le coin sont faits pour ça. L’escalier à vis est plus propice à la précipitation, dans les deux sens d’ailleurs. Il convient bien comme escalier de service. L’escalier en colimaçon peut être à double révolution, c’est encore plus distingué!

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