De Gaulle et les femmes – Post it n°23

Plusieurs témoignages montrent que le Général De Gaulle n’était pas insensible à la beauté des femmes. En particulier, on dit qu’il avait été séduit, en tout bien tout honneur, notamment par Brigitte Bardot et par Jacqueline Kennedy. À ce propos, j’ai entendu un jour une anecdote qui, compte tenu de la personnalité du Général, me semble tout à fait vraisemblable.
Voici :

Simone Valère fut une très belle femme, épouse de l’acteur Jean Desailly et actrice elle-même.
Un beau matin, un membre du Cabinet, que par discrètion nous appellerons Cottard, voulant sans doute flatter le Général, s’adresse à lui :

Cottard
—Bonjour mon Général, et toutes mes félicitations !
Le Général
—Je vous remercie, Cottard, mais à quel propos ?
Cottard
—Eh bien, mais… c’est une très belle femme, mon Général !
Le Général
—Sans doute, mais de qui parlez-vous ?
Cottard
­—De Simone Valère, bien sûr… Toutes mes félicitations !
Le Général
—Ecoutez Cottard, je ne comprends rien à ce que vous dites ! Soyez clair !
Cottard
—Eh bien, mon Général, le bruit court qu’elle est votre maitresse.
Le Général
—Elle se vante…

4 réflexions sur « De Gaulle et les femmes – Post it n°23 »

  1. Erratum…

    Je pensais à ‘pastiche’ et non ‘postiche’ mais j’hésitais entre le pastis et la potiche!

    vu le sujet: ‘femmes de Grands Politiciens,’ ‘potiche’ me semblait plus approprié!

    Et pour amortir mes frais de postes… j’ajoute:

    Hier (comme tous les jours) je me suis trompé…

    Rassurez vous! Trump n’enverra pas ses Marines prendre Margarita!

    Selon Antony J. Blinden, ancien conseillé au Secrétariat d’État de l’administration Obama: ‘En ce qui concerne les affaires extérieures, Donald a. ‘No People, No Process. No Policy.’ (NYT 19.01.29)

    Trump, lui auss, de Monroe, n’ a retenu que Marylin qui s’est offerte gratuitement à JFK! Il croit voir l’Amérique (Latine) s’emparer des États-Unis! (démographiquement: réfugiés et immigrants économiques et commercialement: ALENA)

    Aussi, pour éviter d’être qualifié de » Versaillais écrasant les communards » en Jaune, il reviendra donc au jeune (dans certaines régions de France jeune et jaune se prononcent identiquement) descendant de Napoléon III d’envoyer ses lanciers et dragons (que l’on voit briller et se faire massacrer dans ‘2 Mules for Sister Sarrah’ de Clint Eastwood et dans ‘The Undefeated’ de John Wayne) pour mettre à la tête du Vénézuela un prince héritier d’Autriche! (Enfin l’Europe aura son armée et son pétrole… ce qui fera plaisir à BHL qui n’a que des idées, parfois des bonnes – celles qui ressemblent aux miennes!)

    R.-J. Ravolt, stratège à vendre au plus offrant! (il faut bien arrondir ses fins de mois!)

  2. Pour un si grand As du postiche…

    je doute que le Général ait eu recours à une phrase du genre:

    Le Général: (Selon Philippe)
    « —Ecoutez Cottard, je ne comprends rien à ce que vous dites ! SOYEZ CLAIR ! »

    où toute la responsabilité d’un malentendu repose sur l’émetteur (Cottard ici)

    Pour ‘intuitionner’ la conception que le Général se faisait de la façon dont la communication humaine fonctionne, une phrase clef d’introduction de ses discours me semble très pertinente:

    Françaises, Français…

    À l’entrée: « Les choses étant ce qu’elles sont… » (qui laisse croire qu’il était en mesure de les appréhender et de les décrire); il ajoutait toujours, dans le même élan, un corridor très restrictif: « … et ce que nous en savons. »

    Cet ajout anodin questionne les capacités, aptitudes et compétences des récepteurs (celles et ceux qui ont pour fonction d’appréhender les choses).

    Il est possible que ce que NOUS (lui, De Gaulle représentant la France et l’État ou, plus modestement, son gouvernement avec tous ses experts, etc.) ne sachions pas exactement ce que sont les choses qui existent et que nous nous efforçons de prendre en compte…

    Il ne leur demande pas (aux choses) de s’exprimer ‘plus clairement!’

    Il reconnait au contraire l’incapacité des hommes (même les meilleurs, comme lui, et éventuellement ceux qui l’entourent, impliqués dans son ‘NOUS’ républicain) à comprendre et à fortiori saisir, décrypter, décoder, interpréter… les dites choses…

    Certes, l’injonction: « soyez clair, mon vieux ou Cottard » est un sillon, voire une ornière de ce vieux disque rayé qu’est la grammaire française… mais ce n’est pas parce que les ‘Faiseux’ de grammaire (une pile d’écrivains cités dans les dictionnaires) ont fait une erreur (sur le fonctionnement de la communication humaine) et que cette erreur ait été répétée AD NAUSEAM que l’attribution des responsabilités des dysfonctionnements communicationnels qui en découlent soit judicieuse et permette donc de pallier ces dysfonctionnements.

    L’Univers (les choses et les gens qui en parlent) qui entoure un être humain dépasse ses capacité d’entendement (back to Ashby’s Law of Requise Variety!).

    Un Français lambda, contemplant la thèse de doctorat d’Einstein en trois pages, lui demandera d’être « plus clair »! Il lui demandera de s’exprimer dans les quelques termes et selon les règles de grammaire qui constituent son cosmos cognitif (sa Carte cran Radar ou ‘Weltanschaaung’).

    J’espère, au contraire, que, pour comprendre ces 3 pages, les membres du jury se sont tapés les centaines de bouquins à partir desquels ils ont été en mesure de décrypter les équations Einsteiniennes que ces 3 pages contenaient.

    L’éclaircissement provient de la complexification de l’esprit du récepteur et non des efforts de vulgarisation de l’émetteur!

    Et ça, De Gaulle le savait, ce qui n’est pas toujours le cas des concitoyens lambda!

  3. De Gaulle était bien de la vieille école : le devoir avant tout, et quelques interstices pour le plaisir.
    Aujourd’hui, nous sommes à fronts renversés : le plaisir avant tout et quelques interstices pour le devoir. Ce que l’on appelle : la conversion du regard.
    Trop d’un côté, puis trop de l’autre. Mai 68 est passé par là.
    Et si on restait dans un juste milieu… Serait-ce trop demander ? Oui.

  4. Tante Yvonne veillait diront certains. D’autres diront que le Grand Charles n’a eu qu’une maîtresse, La France! A partir de Giscard, la réalité a pris le pas sur la fiction et La France pardonnait

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