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Poutine meurt et va en enfer

En bas là-bas, son expérience d’ancien du KGB et de chef maffieux lui permettent de très bien se débrouiller. Il collabore efficacement au bon fonctionnement de l’enfer. Il lui arrive même de proposer des modifications pour rendre l’enfer encore plus infernal.

Satan le convoque et lui fait part de sa satisfaction. Pour le récompenser, il lui donne la permission de redescendre à Moscou pour 24 heures.

Poutine arrive à Moscou sans être reconnu et entre dans un café. Le patron, qui ne le reconnait pas, lui demande ce qu’il veut. Sur ses gardes, Poutine se contente d’un café.

Puis il entame la conversation, l’air de rien :

« Il y a longtemps que je n’étais pas rentré au pays…

— Ah, la Thailande ?

—Par là, oui, assez loin… Tout va bien par ici ?

— Ah ça, oui , tout va bien ! »

Rassuré, Poutine de hasarde :

« Et… la Crimée ?

— La Crimée ? C’est à nous ! »

Ravi, Poutine poursuit :

« Le Donbass ?

— C’est à nous aussi !

— Et l’opération militaire spéciale ? L’Ukraine ?

— Ma parole, vous êtes parti drôlement longtemps ! C’est à nous aussi ! »

Poutine est ravi et décide de sortir pour parcourir la ville où il est maintenant certain de trouver des statues à son effigie, des avenues à son nom… Avant de sortir il demande :

« Je vous dois combien pour le café ?

— Deux euros ! »