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Saluons l’audace, pour ne pas dire la témérité, du célèbre critique cinématographique Philippe Coutheillas qui, à l’instar de son idole François Truffaut, est passé derrière la caméra.
D’après Télérama, ce plan-séquence, malheureusement un peu longuet mais d’une rare fidélité, évoque à merveille (le terme est mal choisi, j’en conviens) l’imminence des bombardements de Paris par l’aviation allemande qui avaient bercé (le terme est mal choisi, j’en conviens) l’enfance du petit Philippe.
C’est un exercice d’alerte incendie que pratique de temps en temps l’Institut National de Jeunes Sourds de Paris. Tout le monde s’en est sorti sain et sauf.
C’est de l’humour noir…
Ça s’est terminé comment?
Le cycliste devait être sourd aussi ….