5 réflexions sur « Jean-Pierre et Gisèle (14) »

  1. Et puis je vais poursuivre mon commentaire précédent. Sommes-nous sûr de l’identité propre de ces deux caricatures? Elles représentent ce qu’il convient de croire c’est à dire que que ce sont un homme et une femme (en situation pré-mictionelle selon l’expression médicale) au sens biblique ou au sens de l’état-civil. Et les prénoms, sont-ils réels ou ne sont-ils pas des pseudos? Pourquoi pas Vladimir et Angela ou George Sand et le Chevalier d’Éon? Autrement dit, cette saga, open-minded, nous pose la grande question idéologique du moment, celle de la transidentité, encore une grande question open-ended, je n’ai pas peur de le répéter, une histoire sans fin.

  2. L’image de J-P et Gisèle ne peux pas mentir puisqu’ elle reste fixe tout au long de ses apparitions. Son rôle est statique. Donc tout réside dans le narratif. Il ne ment pas lui non plus car il reste ouvert, ce que les anglais appellent open-ended narrative ou story, c’est à dire qui laisse la conclusion ou l’interprétation au lecteur. Voilà pourquoi j’apprécie cette saga.

  3. Soyons clair l’image vaut mille mots, mais mille mots prennent plus de temps et ça se décollent facilement quand autant de contradictions s’accumulent. Les mots peuvent mentir autant que les images et donner l’illusion d’un sens d’une direction mais en abuse. Le jeux en vaut la chandelle pour s’en rendre compte.

  4. Je t’avais bien dit que ce n’était pas une bonne idée d’aller à la séance du matin au cinéma…. En plus il y avait le pro des rébus, qui va encore nous coller…

  5. Décidément, j’apprécie de plus en plus cette série de cartoons mettant en scène J-P et Giselle et qui inspire mon imagination. Ce matin, je vois plusieurs répliques possibles pour Gisèle, par exemple l’une paniquée (elle connaît ce patron, peut-être intimement ou plus), ou curieuse (enfin connaître celui dont Jean-Pierre lui casse les oreilles), une autre pour proposer le mensonge qui sauvera J-P, etc. Mais laissons le cartoon agir tel quel.

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