Dernière heure : Quiet quitting ou la démission tranquille
Voici un extrait du Morning zapping de Marc Fiorentino, paru ce matin, lettre d’information quotidienne que l’on peut suivre avec intérêt même si on ne s’intéresse pas plus que ça à la Bourse, ne serait-ce qu’à cause de sa rubrique « On s’en fout? »
POUR FRIMER…
…à la rentrée dans un dîner en ville.
Si quelqu’un pense être à la pointe en expliquant que le problème de l’emploi c’est la « grande démission », répondez : « désolé, la grande démission c’est déjà du passé, le vrai sujet maintenant c’est le « quiet quitting » » et vous verrez l’effet.
Le quiet quitting est le nouveau phénomène.
Il s’agit de rester dans son job mais de faire le strict minimum nécessaire, pas plus.
Et d’utiliser une partie de son temps de travail pour faire d’autres choses plus personnelles.
En écrivant ces lignes je me rends compte que la France a adopté depuis quelques décennies déjà le « quiet quitting ».
C’est le travail en silo sorte d’isolationnisme ou la compétition sauvage permet toutes les bassesses pour arriver à ses fins mais en disant cela j’applique la même stratégie qui s’isole de l’environnement au sens élargie pour s’autocorriger et identifier ce qui est fautif du vraie. La viabilité de l’emploie est redevable d’une identification possible, même subtile de ce que le relationnelle n’est pas exempté.