Brèves de mon comptoir (18) : Où en est-on avec le COVID ?

Photographie extraite de la lettre d’information TTSO du 29 novembre, une image sans doute modifiée extraite elle-même de la série The Office.

 

2 réflexions sur « Brèves de mon comptoir (18) : Où en est-on avec le COVID ? »

  1. Avec un peu d’effort on se rend compte, que le quotidien en soi est une habitude acquise qui bouge difficilement. Il se reproduit aussi à l’infinie. C’est tel que l’on le voudrait, et c’est pourquoi il devient conflictuelle avec l’économie comme nous l’avons acquis avec la commercialisation de tous rapports scociaux monnétisé.

    Le corrolaire du virus et de la comercialisation de la santé reflète bien cette résonnace des rapports intrinsèque de nous-même aux autre et des suggestions extrinsèque qui exacerbe nos motivations. Cependant le ruban de Möbius n’a qu’un seul côté d’où le déséquilibre de ne pouvoir voir d’une autre façon. Cette alternance demeure illusoire et oui on peut rigoler longtemps surtout si on se prend trop au sérieux dans nos séries intérieurs et inédites.

    Ce n’est pas un hasard si de nombreux cas de problèmes mentaux se soient exacerber pendant le confinement. Il en était sans doute de même lors du crash boursier de 29 au sciècle dernier ou l’on cumulait les suicides. C’est lorsque le repère se confont avec le réel que l’on croit la réalité nôtre.

    Je pense qu’il faut discocier l’élitisme et l’élite pour cette raison, de sorte que, pour les mêmes raisons que nous ne devons pas confondrent la pauvreté et la clochardisation ou l’absence de richesses.

  2. Et si on se balade sur un ruban de Möbius, on passe d’un côté à l’autre alternativement à chaque passage. C’est rigolo!

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