La page de 16h47 est ouverte

Dans cette période à la fois morne et troublée, vous qui êtes collé à votre écran, espérant la prochaine édition du Journal des Coutheillas, vous avez certainement remarqué que la page de 16h47 reste parfois vide, et qu’en fait, moins c’est confiné et plus c’est vide. 

Dans quelques jours, je vous proposerai un  nouveau jeu littéraire qui devrait vous occuper entre la bûche et le fromage, mais pour l’instant, patience, ce n’est que pour dimanche prochain.
En attendant et pour combler le vide sidéral de vos après-midi, je vous rappelle (ou vous  informe, je ne sais plus) que je mets à votre disposition la page de 16h47.
Si vous avez un film, un livre et/ou une oeuvre d’art qui vous tiennent à coeur ou qui vous révoltent, si vous avez (aviez serait plus adéquat) un restaurant, un café, une église ou un musée qui vous font le même effet, envoyez donc à la Rédaction un texte pour exprimer, en termes si possible galants et argumentés, votre enthousiasme ou votre déplaisir. 

Allez en paix. 

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