RENDEZ-VOUS À CINQ HEURES (0)
13/05/20
Pour remplacer le Journal de Campagne dont la disparition, définitive espérons-le, a suscité bien de l’émoi dans les villes et les campagnes, j’ai envisagé dans un commentaire que tous n’ont peut-être pas lu la création d’une nouvelle rubrique récurrente, une sorte de Courrier des lecteurs dont le titre serait RENDEZ-VOUS À CINQ HEURES et qui paraitrait à 16h47 en hommage au Journal de Campagne.
Durant les 55 jours du Journal de Campagne, vous avez été nombreux, et même plusieurs, à envoyer des commentaires de plus en plus fréquents, de plus en plus pertinents — enfin, pas toujours quand même — et de plus en plus écrits. Et la déception manifestée devant la disparition de l’édition du soir ne serait-elle pas due aussi un peu à celle de cette occasion de vous exprimer ?
RENDEZ-VOUS À CINQ HEURES pourrait être l’occasion pour vous de reprendre cette expression, à propos de tout, de rien, d’un évènement, d’un film, d’un animal (plus de veaux svp), du temps qu’il fait. Un texte de fiction, un souvenir, un poème, un coup de colère ou d’enthousiasme sur la vie qui va, un peu tout ce que je fais en tant que rédacteur quasi unique du JdC. L’avantage du RENDEZ-VOUS par rapport au commentaire d’article est que vous serez libérés de l’obligation de rester à peu près dans le cadre du sujet de l’article.
Voici comment ça pourrait marcher :
Vous écrivez votre machin en Word, vous lui donnez un titre et si vous le souhaitez, vous y joignez une photo vous m’envoyez le tout par email en me précisant quelle signature vous souhaitez voir apparaître sous le texte, votre pseudonyme ou votre vrai nom.
Votre texte sera, sauf impossible ou surabondance de matière, publié le jour même ou le jour suivant à 16h47 dans le JdC sous le titre générique RENDEZ-VOUS À CINQ HEURES.
Voilà, c’est tout.
P.S. Bien sûr, RENDEZ-VOUS À CINQ HEURES ne paraîtra que les jours où il y aura de la matière. Alors à vous de jouer, je suis sûr que vous avez quelques textes en tête ou en stock qui y trouveraient bien leur place.
Surprenant, ton rejet des beaux vins
Rendez-vous à cinq heures est une bonne idée. J »y suis favorable bien que je n’habite pas Montmirail.
Mais à la différence de certains, je tiens à préciser que « j’travaille, moi » ! Je promets donc d’être un lecteur fidèle, pas un producteur prolifique.
Allez, un peu d’enthousiasme que diable ! Jetez-vous à l’eau ! A vos plumes, si j’ose dire !
Ah ! mais je vois que le lectorat du blog des Coutheillas converge sur Montmirail !
Cette concentration augurerait-elle d’un remake de la bataille de 1814 ?
Philippe Napoléon Bonaparte rassemble ses troupes !
Bonsoir Lariegeoise,
je te dirais bien d’écrire tes textes à la main ou de les taper sur ta vieille Underwood avec une gauloise au coin des lèvres et un verre de Morgon à proximité, de me les envoyer par la malle-poste ou par pneumatique si je suis à Paris ou par télégramme pour que je puisse les retaper sur mon Mac et les publier sur l’étrange lucarne.
Je peux te conseiller aussi de te mettre au MacBook ou au PC. Il serait temps d’investir dans la technologie moderne et de donner un peu au GAFA.
Bon moi je suis larguée : comment je fais moi depuis mon phone soi disant smart?
Dommage pour les veaux, je suis deconfinee dans l Aisne et j en ai vu plein à Montmirail!
J avais oublié les charmes du Carrefour de Montmirail….; la distanciation sociale y est très aléatoire, et j ai revu des gilets jaunes…
Un peu abrutie par ce changement fuseau départemental, attends éclaircissements avec impatience.