Morceau choisi
Ô tempora, Ô mores,
ou
Babylone, il y a 2.348 ans
Rien de plus corrompu que les mœurs de cette ville. Rien de plus fait pour exciter les sens par l’attrait immodéré des voluptés. Les parents et les maris permettent que leurs filles et leurs épouses se prostituent à leurs hôtes, pourvu qu’on leur paye leur déshonneur. Les joies des festins sont, dans toute la Perse, la passion favorite des rois et des grands ; les Babyloniens surtout se livrent sans réserve au vin et aux désordres qui suivent l’ivresse. Les femmes, en assistant à ces repas, prennent d’abord une attitude réservée; bientôt, elles se dépouillent de leurs vêtements qui voilent le haut de leur corps et, peu à peu, en viennent à oublier la pudeur; on les voit alors rejeter leurs derniers vêtements ; et ce ne sont pas les courtisanes qui se déshonorent ainsi, ce sont des femmes de distinction et des jeunes filles pour lesquelles c’est un devoir de politesse que cette prostitution publique de leur charme.
Quint-Curce, Histoires d’Alexandre
Comme d’autres ont annoncés, avec talent et suspens, ces événements babyloniens, le 1er avril, je vous donne les clefs de mon blog! et le mot de passe pour la maison du même nom!
« Du boléro de Ravel au Bordel de Ravo! »
Let’s make BABYLONE GREAT AGAIN! Avec duplicata mâle à poil pour les femmes… on a évolué quand même!
« Ah Bisance… Babylone… jerusalem!! » s’exclamait Belmondo dans sa légendaire gestuelle!
Le traducteur, + ou – contemporain (au moins Cesaropapiste) n’a t il pas ajouté quelque chose? À moins que ce ne soient les moines copistes et gauchés!
le mot ‘prostitué’ avait-il alors raison d’être? Il en était encore ainsi, en l’an 27, avec la Marie Madeleine que Jésus a bibliquement connu! Ce n’est pas en $e$terces qu’il a payé mais en choco-latines ou ptits pains au chocolat p(h)arisiens, si cher à Jean François Coppé!
Eh bé! DSK se serait plu d’étre ambassadeur là-bas.