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Suite.Tippi Hedren n’est pas bonne mais Hitchkok avait une prédilection pour les actrices blondes.Grace Kelly,Kim Novak,Eva Marie Saint,Ingrid Bergman.
Je cherche depuis ce matin et je ne trouve que le film de Hitchkok. Pas le plus mauvais mais le moins bon.Il a eu beaucoup de succès grâce à son sujet très original . Les deux meilleures scènes sont l une qui est décrite par Philippe et l autre ou l ortinologue anglaise présente son exposé devant les clients ,américains très moyens,qui n ont pas l air de comprendre ce qu elle raconte.D accord avec Philippe Tippi
En anglais, on appelle ça une « sequel » et, bien-sûr, on a tout de suite adopté le mot français séquelle pour désigner la même chose : la suite d’une œuvre, en général la reprise d’un film, la plupart du temps en pire.
L’adoption de ce mot n’est pas vraiment surprenante quand on réalise que dans son premier sens, il désigne une « lésion qui persiste après la guérison d’une maladie ou d’une blessure ».
Heureusement, Alfred le Grand n’a jamais éprouvé le besoin de tourner une séquelle.
Pourtant, on aurait aimé voir James Stewart, de retour dans son fauteuil roulant à la fin de « Fenêtre sur cour », élucider un nouveau meurtre, cette fois-ci à partir de son écran de télévision, en démasquant le criminel caché sous le présentateur du journal de 20 heures, uniquement par l’analyse de ses changements de cravates. On aurait bien vu aussi Anthony Perkins-Norman Bates s’échapper de son asile et prendre la gérance du nouveau Novotel que le groupe Accor viendrait d’ouvrir à Las Vegas, ou encore Cary Grant, le brillant publicitaire de la Mort aux trousses, être engagé définitivement par la CIA pour créer l’agence Mission Impossible. J’avais plein d’idées de scénario.
Tant pis…
Zorar ?
Fais bien attention, Rebecca ! Ils observent, ils analysent, ils supputent, ils complotent, ils se préparent…
Elle me fait surtout penser à mon chez-moi, en cette saison où les zozios s’accumulent en face de la maison sur les lignes. Le village est apparemment un point de ralliement, car ils sont des milliers à venir, et font de grands volutes noirs mouvants et gracieux dans le ciel automnal, juste au-desssus de la maison.
J’avais bien sûr pensé d’abord au film d’Hitchcock (qui a plus mal vieilli que psychose) mais celui-ci ne se déroulait pas à New-York.
Quand ils sont en manque d’inspiration ou en recherche d’un succès facile, les réalisateurs nous sortent un n°2 pour « rebondir » après un premier succès. C’est pourquoi cette photo m’évoquerait plutôt un film « Les Oiseaux 2 – Peur sur Manhattan », avec la participation de Woody Allen avec sa clarinette en dresseur de corbeau.
Les oiseaux
1963-Alfred Hitchcock
Rod Taylor-Tippi Hedren
Comme celle de Psychose, trois ans auparavant, la sortie des Oiseaux avait été magistralement préparée et le film avait été un très grand succès. Il faut dire que le choix de ces petites bêtes pour incarner la menace absolue était particulièrement judicieux et plein d’humour. Une mise en scène parfaitement maitrisée trouvait son apogée dans la réalisation de la scène magistrale du petit port de pêche, observée du point de vue de l’oiseau, où les clients d’un « diner » vont être attaqués par les mouettes après qu’une station-service ait explosé. Dommage que le gros Alfred ait confié le role principal à l’une des plus mauvaises actrice de l’époque. Considéré par beaucoup comme le film le plus marquant d’Hitchcock, je suis personnellement très loin de le considérer comme tel.