4 réflexions sur « Pompidou sans légende »

  1. Bon! Depuis ce matin et la découverte tardive de ce Pompidou sans légende, une question vache me taraude et qui va certainement me faire mal voir par le rédacteur en chef: a-t-il idée de l’empreinte carbone provoquée par l’envoi de cet email à ses nombreux lecteurs? 25 grammes? 100 grammes? J’en sais rien mais elle ne doit pas être négligeable.
    Bon! C’est la fin de l’année et on peut se permettre quelques excès. Mais attention, l’annee prochaine il faudra se mettre à la diète.
    Bonnes Fêtes de fin d’année à toute l’équipe du JDC et à tous ses lecteurs, et Meilleurs Vœux pour leur Poursuite du Bonheur en 2019.

  2. Un beau coup d’oeil dans ce monde de brutes.
    Merci Philippe.

    J’adore ce Centre Pompidou.

    et bonne année !

  3. Cette série de photos sans légende illustre une visite d’un peu plus de deux heures au centre Pompidou. L’objectif avoué de cette visite était l’exposition sur le cubisme. Je n’avais jamais autant vu d’œuvres cubistes réunies en un seul endroit. Cette abondance permettait d’une part de comprendre un peu la naissance et l’évolution du cubisme, mais aussi de faire son choix, son shopping, des œuvres que l’on préfère.
    J’en ai profité pour visiter l’exposition permanente et une ou deux originalités du genre installation. Pour me moquer un peu de l’art « ready made », j’ai aussi photographié de beaux objets comme une lance d’incendie ou un réseau de tuyauteries.
    J’ai voulu aussi souligner certains points de vue que peut donner un musée, mélange d’une œuvre exposée et d’une vue sur l’extérieur, un escalier de secours ou un escalator.
    Le dessin qui figure des hommes en habit et des danseuses nues est une caricature derrière laquelle l’artiste a voulu sans doute mettre des tas de choses.
    Mais le plus frappant reste quand même le cubisme.

  4. Perplexité. Je dois faire partie de ce pucième de population qui n’entrave rien aux arts de la forme.
    Exemple : deux danseuses nues, et des types qui regardent ailleurs. C’est la preuve que dans cet ailleurs, il y a au moins trois danseuses nues.

    Absent pour trois jours, je souhaite à tous une heureuse année 1919.

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