8 réflexions sur « Les bonnes clotures »

  1. Hi Jim!

    Tu ne peux savoir à quel point je souhaite que tu aies raison!

    Hélas, je suis de plus en plus intimement convaincu que beaucoup de Québecois, aux noms bien français du XVIIe., du genre Alexandre Bissonnette ne soient en fait que des Américains de l’Amérique profonde qui parlent français!

    Un néo-nationalisme de résistance à l’ex colonialisme britannique du genre ‘Nègres Blancs’ d’Amérique, dont les braises se consument encore sous les quelques arpents de mousse, en fait de bons adeptes du Trumpisme. L’actuel chef du Parti Québécois a récemment déclaré à propos de l’Administration Trump: « Les Américains, ils l’ont l’affaire, eux! » Pensant qu’il serait bon d’instaurer ici aussi un régime autarcique (tant sur le plan économique que celui de l’immigration)! Maîtres chez nous, enfin!

    Du côté anglophone, il y a eu. chez les Conservateurs, pis que Bush, the 43rd et ils se préparent des Trumpettes pour reprendre aux Libéraux du petit Trudeau ce qui leur appartient!

    L’héritier ne me semble pas avoir les ‘guts’ de son père et les seuls qui dénoncent le fascisme de Trump sont les Néo-Démocrates dont le nombre de membres est en chute libre depuis que Thomas Mulcair (le chef de ce parti centre-gauche) a refusé de bannir le foulard islamique dans les espaces publics.

    Toutefois, une certaine lueur d’espoir s’est rallumée en lisant dans ‘It Can’t Happen Here’ (1935) de Sinclair Lewis que le héros anti-fasciste de cette histoire s’est réfugié parmi des résistants américains d’alors réfugiés au Canada comme le sera, peu de temps après, De Gaulle à Londres! Mais ce n’est qu’un roman!

    Chose rassurante dans cette histoire, le politicien auquel Sinclair pensait dans son roman était le Sénateur de la Louisiane, Huey Long, rival de F. D. Roosevelt. Heureusement, ce candidat malheureux fut assassiné!

  2. Hi René-Jean, j’avais bien compris ta proposition ironique d’un mur érigé au Canada pour contrôler l’entrée du fascisme que Trump nous prépare. Non, ma diatribe n’était bien sûr pas une réponse à ton propos car je sais que trop bien que le Canada est une terre d’accueil, parfois naïve peut-être, qui n’est pas prête à de venir une dictature.

  3. Jim!

    le mur que je pense imaginé par les Canadiens et qui borderait les frontière Sud et Nord-Ouest (Alaska) n’aurait pour but que d’empêcher l’idéologie fasciste américaine de venir polluer les mentalités non-vaccinées qui feu-folettent sur les ‘arpents de neige’ auxquels ton Voltaire a malheureusement fait référence!

    En mentionnant que le Canada refilerait la facture à Trump qui la repassera au Mexique, l’allusion au mur de cet agent immobilier, qui ne perd pas le nord de ses affaires, me semblait évidente! Sans doute était-ce une ‘évidence alternative,’ typique de notre nouvelle ère de la ‘post-vérité’ ? Ère dans laquelle il te faudra rentrer un jour ou l’autre!

  4. Bonnes vacances quand-même, Jim, à toi, à Mauricette et surtout à Maurice !

  5. Y en a marre des correcteurs. Le mien ajoute des mots, je le jure. Victor Hugo a bel et bien écrit « les bons mûrissent, les mauvais pourrissent ». J’en profite pour ajouter que Trump est un pourri, un mauvais, et les seules choses qui ont mûri chez lui sont sa mégalomanie, sa perversion, son égocentrisme, et j’ajoute que cette pourriture n’honore pas ses électeurs qui n’en ont rien à foutre de toutes les façons. Dump Trump!

  6. C’est bizarre cette manie qu’on les vrais ou apprentis dictateurs de vouloir construire des murs au propre comme au figuré: Hitler et son mur de l’Atlantik, Staline et son rideau de fer, Ulbricht et son mur de Berlin, Hadrien et son mur écossais, Qin XI Huang et sa grande muraille, carrément, etc, etc, et bien sûr Trump qui ne veut pas être en reste avec son mur mexicain. Aucun n’ont compris que le mur du çon finit par se franchir. Victor Hugo se trompait, ça lui arrivait, quand il a pas écrit: « les bons mûrissent, les mauvais pourrissent. »

  7. Le Canada pense construire un mur sur sa frontière sud et, évidemment, il passera la facture à Trump qui la repassera aux Mexicains! C’est ça l »ALENA’!

    Ce mur aura pour fonction d’interdire aux idées fascistes américaines (identifiées comme telles par le leader du Nouveau Parti Démocratique), de venir renforcer les canadiennes et surtout les québécoises.

    Je ne pensais pas que la seconde croisade du XXIe siècle partirait de Québec!

    Mes concitoyens adoptifs ont devancé Trump sur son propre ‘turf’! Fallait le faire!

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