Rebonjour, tout le monde !

Depuis la fin novembre, le Journal des Coutheillas est entré dans sa dixième année. (A ce propos, laissez-moi signaler que tous les articles publiés depuis le premier jour sont toujours disponibles sur le site.)

En bientôt dix années d’existence et de publication quotidienne et jusqu’au 6 décembre dernier, le JdC n’avait jamais connu d’interruption aussi totale ni aussi longue que celle qu’il vient de subir.

Le 7 décembre au matin, après une longue journée d’escalade de pylônes et de bidouillage de câbles, le service a été enfin rétabli.

Mais le soulagement n’a été que de courte durée, puisqu’il est apparu rapidement que les messages que le site adresse aux abonnés pour leur annoncer chaque nouvel article n’avaient pas été émis, ou pas été reçus, du moins par tout le monde.

De ce fait, vous avez peut-être manqué les deux articles publiés hier :

  • à 7h47 : Le vide de la Place du Palais Royal
  • à 16h47 : Petit tour chez les L.R.

C’est dommage, parce que ces deux articles étaient assez spectaculaires.

Cliquer sur les deux liens ci-dessous vous procurera une deuxième chance de les voir :

 Le vide de la Place du Palais Royal

Petit tour chez les L.R.

6 réflexions sur « Rebonjour, tout le monde ! »

  1. Mes commentaires ne sortent que par essoufflement et m’en excuse pour les erreurs quel qu’il soient. J’espère que j’ai pus clarifier ce qui ait semblé obscure et sans faux fuyant tout en profitant de mon absence.

  2. On a un esprit naïf, notre cerveau a des portes d’entrées qui nous sont étrangères. Je pense que les vulnérabilités parte de là mais on peut les aprivoisées et pour cela on doit les reconnaître. Les informations ont quelque chose de fugace et passe par des cannaux appris et demeure distant de nous. Le présentiel, mot apparue suite au confinement est un exemple de notre apprentissage appris notre présence peut paraître évoqué sans que notre être soit impliqué si on reste d’un cartésianisme rigide. L’information me semble fugace en ce sens et propose donc que sa perception implique que nous puissions reconnaître les divers chemins qui jonchent un torrent de bruit pouvant conduire à des réalitées que l’on ne soupçonne pas

  3. Bon ! Là, je n’y tiens plus ! J’ai besoin d’explications sinon je vais encore mal dormir. Si je comprends — ou croit comprendre — à peu près le début du commentaire de Claude, la fin m’en est totalement obscure. L’éventuelle présence d’une ou deux coquilles et le manque de ponctuation ne suffisent probablement pas à expliquer mon incompréhension. S’il vous plait, Claude, quelqu’un, expliquez moi ce que veut dire ce passage :
    « (…) qui se traduit par, soyons l’absence appartenant au lien qui nous relie aux autres autrement que ce qui ne participe que de la fugacité.
    C’est exigeant mais il en découle beaucoup de bienfait que la particularité déjoue l’appât des dépendances trop éblouissantes réduisant à l’atavisme réducteur ne pouvant distingué la trace qui conduit à différencier le nous du tout pour élargir la réalité par ces liens. »

  4. Ah zut, j’allais justement écrire « tout fout le camp », la SNCF, l’EDF, le GDF, et même le JDC. Sale temps!

  5. Hé oui, la présence fout le camp. Le moment fuit que nous le voulions ou pas, et nous pensons avoir le contrôle. Cependant quand les grands esprits se rencontrent de quelques façons il y a intrication et l’éternelle présence défit le découragement devant la fuite présentielle nouvelle qui se traduit par, soyons l’absence appartenant au lien qui nous relie aux autres autrement que ce qui ne participe que de la fugacité.

    C’est exigeant mais il en découle beaucoup de bienfait que la particularité déjoue l’appât des dépendances trop éblouissantes réduisant à l’atavisme réducteur ne pouvant distingué la trace qui conduit à différencier le nous du tout pour élargir la réalité par ces liens.

  6. Et oui tout fout le camp… même nôtre si ponctuel JDC a des ratés…
    Qu’en sera t il de nous en janvier lors des coupures de courant annoncés à grands renforts d’annonces anxiogènes par nos «  élites »?
    Nôtre redac chef va devoir tailler ses crayons et noircir du papier….

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