2 réflexions sur « Les paroles s’envolent »

  1. « Lorsqu’un vieillard meurt, c’est une bibliothèque qui brûle! »

    Hélas, l’auteur anonyme de ce sublime proverbe africain a péri dans les flammes de la bibliothèque de son village incendiée par les bocaux à rames et à vapeur locaux!
    C’est justement pour ça que le gars en question aurait dû écrire !

  2. Il n’y a de sens que d’Hommes! (affirme péremptoirement, René-Jean, – l’H majuscule incluant la Femme bien sûr -)! Il a fallu un Jean-François Champollion pour réinventer la signification, alors disparue, des hiéroglyphes, pourtant bien inscrits sur le stèle de Rosette (‘Rosetta stone’) à côté de textes rédigés en deux langues mortes: le Démotique et le Grec que quelques vivants d’alors pouvaient décrypter. Ces survivants, les utilisent encore dans leur communauté pour se distinguer de leurs mortels contemporains qui n’usent que de la langue vivante du coin. Cette macabre habitude de vivre avec les langues mortes est entretenue par les Germanoprates bcbg qui inculquent le Grec Antique à leur progéniture en bas âge pour qu’elle pense comme eux et pas comme les autres mécontemporains.

    Lorsqu’un Homme meurt, le sens de ses écrits, tout comme de ses paroles, disparaît! À moins que l’on se faufile, à l’anglaise, dans ses chaussures (ce qui implique que l’on soit à côté de nos pompes) ou que l’on se mette dans sa peau, comme le disent les Français et le firent littéralement les Incas illettrés, selon Tzvetan Todorov.

    Tout cela est magnifiquement corroboré par la magique formule du Marabout:

    « Lorsqu’un vieillard meurt, c’est une bibliothèque qui brûle! »

    Hélas, l’auteur anonyme de ce sublime proverbe africain a péri dans les flammes de la bibliothèque de son village incendiée par les bocaux à rames et à vapeur locaux!

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