Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
La scène se passe dans l’est de la France, à Chant de Fées, et l’écrivain est bien connu du JdC.
A ma connaissance, mais je n’ai pas le temps de vérifier, ce dessin, publié il y aura bientôt 5 ans, ne fait pas partie d’une suite. D’ailleurs, il se suffit très bien à lui-même.
Ce dessin fait partie d’une suite, vous trahissez Sempé en effaçant les autres dessins !
Merci de compléter cette page, et de m’écrire pour m’en informer.
Cordialement,
François
Salauds de riches, salauds de pauvres, salaud de moi, qui fus l’un et l’autre.
L’écrivain, c’est bien connu, vit avec ses personnages, et, comme le disait Hervé Bazin, « bien écrire, c’est un aveu doublé d’un camouflage ».