1ère image :
Champ bleu foncé surmonté d’une rose des vents blanche , avec quatre lignes blanches rayonnant à partir des quatre points cardinaux. C’est de drapeau de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord, autrement dit
L’OTAN
2ème image :
Quelqu’un, tout juste sorti de la douche, se passe une serviette éponge sur le visage. Comme ce quelqu’un, c’est moi, je peux dire :
JE M’ESSUIE
3ème image :
Compartiment de la SNCF de seconde classe comportant six couchages. C’est un compartiment
COUCHETTES
4ème image : Émoticones (smileys) évoquant la joie, la plénitude, la satisfaction, autrement dit le
BONHEUR
Et c’est ainsi que l’on parvient à reconstituer l’incipit le plus célèbre de la littérature française :
L’otan je m’essuie couchettes bonheur
@ Bruno. J’avais pourtant bien précisé « en finesse ». Tout le charme des rébus, c’est justement la clarté de la liaison (ou alors est-ce l’inverse?) entre l’image et le mot. Un peu comme dans les mots croisés, en quelque sorte.
De plus, connaissant mes goûts et passions, souvent et largement exposés sur le JdC, la solution aurait dû être évidente pour la plupart de mes lecteurs. Toi, tu avais au moins l’excuse de la fièvre. Mais les autres ?
J’avais une autre solution :
Eh, toi, l’arme est chez les souris !
Même la solution, j’ai eu du mal à la comprendre. Tu aurais du préciser que l’auteur était un alsacien enrhumé !