Dernière heure : Un Français prix Nobel de physique

Dernière heure :  Alain Aspect partage aujourd’hui le prix Nobel de physique avec un Américain et un Autrichien ! C’est dire qu’il est loin d’être con !
Mais les oiseaux ! Alors là, les oiseaux, c’est à peine croyable… !

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Parc ornithologique du Marquenterre

3 réflexions sur « Dernière heure : Un Français prix Nobel de physique »

  1. Oui parfois on met un terme à une intervention parce que quelqu’un a une tête de linotte, est coucou, rapace ou moineau et pour les plus fou, fou de bassen mais sans eux comment envisager le monde et tout ce qui vole. L’albatros qui prend difficilement son envol est sans prétention une fois envolé. Je me demande quel influence a eu certaine disparition d’oiseau comme la tourte à l’origine de nos fameuses tourtières et d’autres disparitions dans les siècles plus ou moins récents vivant sur les côtes et dont je ne me rappelle plus le nom. Les trouve-t-on con depuis si longtemps qu’on s’en débarrasse sans réfléchir à ce qu’il en adviendra parce qu’ils sont con j’éprouve une grande tristesse de penser qu’ils meurent sans avoir pus être réellement observer pour sa beauté ou son chant ou encore pour son plumage. Même s’ils sont con qu’ils soient digne d’intérêt pour ne serais-ce que quand nous n’y seront plus. Ils sont d’ailleurs digne des plus belles représailles ils s’envolent à l’approche d’une violence le plus souvent.

  2. Mais pour ce qui est des oiseaux, je maintiens, je persiste et je signe : les oiseaux sont des cons.

  3. Si j’ai quelque peu chamboulé le contenu de ce Rendez-vous à 5 heures, c’est à cause d’Albert Aspect, bien sûr, et parce que, moi-même, je suis un spécialiste de la physique quantique. Pour le prouver, je vous renvoie à la série d’article que j’ai publiée ici-même : L’Univers, ses lois, ses principes et autres âneries.
    Seulement voilà, il se trouve qu’outre une certaine affinité pour l’absurde, l’oxymore, la périphrase et la belle langue française, j’ai un point commun avec Alexandre Vialatte : c’est celui d’être, dans mon domaine quantique, notoirement méconnu. Mais ça ne fait rien, je suis content pour Albert et j’ai voulu le faire savoir.

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