Rendez-vous à cinq heures à Giron

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GIRON

Paisible ville coloniale colombienne, lieu de résidence passagère d’ El Libertador, Bolivar, entre Bogota et Medellin.

Mais au détour d’une rue, le choc émotionnel :

Où l’on voit le fier et pacifique conquistador menacé par un méchant andin, sans foi ni loi.
Derrière, le padre tente de le modérer, bible en main, mais dans quelle langue ?

Avec succès ? J’ en doute.

Guy

 

3 réflexions sur « Rendez-vous à cinq heures à Giron »

  1. Concernant l’histoire j’aimerais partager cette réflexion que j’ai à la suite de cette nouvelle que je viens tout juste d’entendre à la radio.
    Serge Bouchard, camionneur anthropologue n’est plus. Il était ce vieil ami que l’on croise occasionnellement et qui soudainement capte votre attention avec ses histoires qui expliquent comment les choses en sont arrivé là ou elles en sont.
    La richesse de ses propos ennoblissait par l’histoire générant l’intelligence conséquente que la reconnaissance des erreurs permet. Une paix émanait de cette profondeur historique permettant la jouissance d’une compréhensible échange, sans l’amertume d’une implicite fautive évidence des parts échangés parce que la justesse des propos devenait limpide. L’impardonnable pouvait être évoqué sans que l’attention ne s’offusque par ses propos soutenu. Il n’est plus, mais il a été un conteur de merveille simples grandes et petites.

  2. Encore une statue qu’il va falloir déboulonner au nom de la condamnation du colonialisme occidental et de la destruction de civilisations anciennes.

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