4 réflexions sur « Parlez moi d’moi »

  1. Oui, mais celui qui regarde la façade ne partage pas les frais de ravalement !
    (Encore une réponse tardive mais c’est mon fichu esprit d’escalier)

  2. C’est bien comme ça que je l’entendais aussi. Pour illustrer mon idée d’un blog, je m’inspirerai de la métaphore du célèbre Lao Tseu que notre ami François connaît bien: « La façade de la maison n’appartient pas qu’à celui qui la possède mais aussi à celui qui la regarde ». Am I right?

  3. Commentaire très agréable et encourageant à lire. Continue, cher Patrick, à alimenter ce qui pourrait constituer une chronique critique. Ma modestie, cependant, m’interdit de publier ce commentaire en tant qu’article, mais j’espère bien qu’il sera lu et relu.

  4. Trois semaines déjà! Tous les professionnels des feuilletons savent que c’est le moment fatidique pour savoir si la prise se fera. Le mot « accrochage » est celui qui convient mieux, bien mieux que le mot anglais « addiction », car il transmet l’idée de suspension, donc de « suspense », mais attention: dans son acception anglaise cette fois, pas dans celle du droit canon. De tout temps, l’accrochage à un feuilleton ou à une série est la question fondamentale qui se pose à son initiateur. Ce fut le cas dans la presse d’abord (çà, nous n’avons pas connu mais on imagine comme les lecteurs suspendus au Comte de Monte-Cristo devaient compter les jours d’une parution à l’autre); dans les illustrés de notre enfance (Tintin ou Spirou); à la radio (La Famille Duraton, les Maîtres du Mystère); à la télévision ensuite (Thierry la Fronde, Dallas); sur internet aujourd’hui: leblogdescoutheillas.o
    La question est: les abonnés vont-ils entrer en communication avec son contenu et lui être suspendu? La réponse, selon nous, est: oui. Ce blog est une découverte, ou plutôt des découvertes. Au fil des trois semaines, nous avons découvert l’artiste et poête Sébastien. L’irréfutable Philippe se découvre petit à petit, pudiquement. Non, son effeuillage est encore loin de l’avoir mis à nu façon Houelbecq (auteur qu’il affectionne) mais peut-être que quelques encouragements encore et il y arrivera comme le pense Conrad (autre auteur qu’il affectionne). Confirmations ou découvertes, Philippe nous apparaît: blogueur (blagueur aussi), photographe, bureaucrate, reporter, bistrotier, mythologue… et puis quoi encore? Comme avant chers lecteurs du Journal des Débâts, chers enfants tintinophiles, chers auditeurs de RTL, chers téléspectateurs de l’ORTF, et maintenant chers internautes: vous le saurez la semaine prochaine!
    Joyeux Noël!
    PatSue

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