PRÉFACE (12) : UN GARÇON DE LABORATOIRE

UN GARÇON DE LABORATOIRE(1)

Certaines personnes adorent se déguiser. Moi, non ; mais pour raconter certaines de mes petites histoires, j’aime me mettre dans la peau d’un imbécile, ou d’un méchant, ou d’un voyou, ou mieux, d’un voyou bête et méchant. J’ai pratiqué cet exercice de nombreuses fois. Je l’ai fait notamment avec « Blind dinner » et je vais le refaire un peu plus loin dans ce recueil avec « C’était un jour qu’était pas fait comme les autres ». Il est donc craindre que ça ne devienne une seconde nature.

En attendant, mon candidat au poste de garçon de laboratoire, est bien un triste individu, ignare, égoïste et sans scrupules. Dans cette histoire, il apprendra

au moins une chose : faire la différence entre un garçon de laboratoire et un garçon de laboratoire.

*

Cette nouvelle fait partie du  recueil intitulé « La Mitro ». Cette préface est destinée à vous donner envie de la lire, d’acheter le livre, éventuellement de le lire en entier, et surtout, surtout, que vous l’ayez lu ou non, d’émettre un avis, un commentaire, une appréciation, deux lignes, trois mots sur le bouquin. 

Rappel(1) : Isaac Asimov (1920-1992) fait partie de mes écrivains préférés et, en matière de science fiction, il est mon écrivain préféré. Ceux qui ont lu les histoires de robots d’Asimov ou n’importe quel volume de sa saga Fondation comprendront pourquoi.
Dans les rééditions de ses innombrables nouvelles, Asimov aimait ajouter à chacune d’entre elles une brève introduction. En quelques lignes, il expliquait pourquoi il avait écrit celle-ci, ce qui avait inspiré celle-là, combien de fois elle avait été refusée par son éditeur et souvent combien de dollars elle lui avait été payée.
Eh bien, moi, pour faire comme Asimov et pour faciliter le travail de ceux qui prépareront dans quelques années une anthologie de mes œuvres, et pour amener le lecteur courant à une meilleure compréhension de chaque nouvelle du recueil « La Mitro »,  je fais la même chose, et j’appelle ça Préfaces.

Cliquez vers  —> LA MITRO 

À apprendre par coeur, en attendant la suite…

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